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« L’éthique politique presque absente »
Quel titre ! Vous dites « absente », non vous exagérez. C’est complètement « méconnue » ! A Madagascar on crée un parti politique, non pas en vue d’une éducation citoyenne ou d’assumer d’autres rôles y afférents, mais pour se faire remarquer, pour juguler ceux qui constituent en partie comme « adversaires » communément politiquement c’est selon, pour le « halako bika tsy tiako tarehy », pour qu’on puisse trouver des moyens de s’enrichir si rapidement, ... C’est la raison pour laquelle cette floraison incontrôlée du nombre des partis politiques au pays.
Cette absence, selon l’auteur ou cette méconnaissance à mon avis favorise en grande partie cette attitude de gouverner avec une pensée unique voire même laissant ériger en haut lieu la dérive vers un règne animé par l’esprit tyrannique ou dictatorial, la naissance d’un Etat Gendarme. Donc, toutes les institutions de la républiques sont sous contrôle de l’Exécutif d’une manière ou d’une autre en incitant les hautes personnalités de corrompre les différentes instances étatiques pour arriver à leurs fins.
Est-il nécessaire de se souvenirs une certaine époque où un leader politique a pris l’initiative d’incruster ce genre de notion « l’éthique politique » ; pourtant, tout le monde du microcosme politique tournait le dos. Et ce qui est malheureux dans cette histoire c’est qu’une telle initiative s’est enterrée avec son initiateur pour toujours jusqu’à ce que l’esprit de la renaissance (apparition d’une forte conscience de responsabilité) réveille l’envie du devoir citoyen envers le peuple malgache, donc la patrie. Est-ce trop de philosopher ainsi ? Point de place à la rêverie, non !