Le 27 novembre à 11:08 | vatomena (#8391) répondait à Voltaire

>>Ne vous en déplaise ,Voltaire ,ne confondez pas autrefois avec aujourd’hui. Vous avez une jeunesse française qui ne sait même plus écrire sa langue . Le savez vous ou cela vous aura échappé ?<<

Oh la jeunesse française ne se débrouille pas si mal que vous le pensez en écrivant et en parlant la langue française.
Il est vrai qu’elle est malmenée par les discours de politiques qui ne cessent d’inventer de nouvelles significations a des mots d’usage courant, et des racontars des journaleux en mal de papiers (torchons) à produire pour le plaisir de magnats de la presse.

Je ne verserai pas dans le couplet qui consisterait à affirmer qu’il y a des quartiers a éradiquer.
Les jeunes de 14 à 22 ans qui fréquentent qui des lycées professionnels qui des études post bac sont globalement bien dans leurs têtes.
Bien dans leur têtes car ils comprennent parfaitement tout, absolument tout ce que les dirigeants ne disent pas.
Certes il y a des exceptions, 1 à 2 % qui pourrissent la vie de tous les autres.
Et cette frange marginale est très soutenue et encouragée par des esprits bien pensants...
Esprits bien pensants qui sont incapables de comprendre les causes réelles de lacunes en français, et autres matières, de certains jeunes.

Si l’on prend la peine d’être corrects avec cette jeunesse qui ne sait pas écrire sa langue, ils se réveillent très vite et progressent à la même vitesse que ceux qui savent bien écrire.

Un ajout à ce qu’écrivais Voltaire, la plupart des « traders » en Angleterre, aux USA, à Hong Kong, sont issus d’écoles françaises. Un trop célèbre est même issus d’une école Lyonnaise.

Il est très facile de cracher dans la soupe quand l’on est incapable d’analyser des faits.
Avez vous examiné les critères PISA ?
C’est un peu comme si l’on demandait à des chimpanzés des tests de détermination de Quotient Intellectuel...