Un premier ministre de consensus a-t-on entendu hier dans le milieu politique...

Et la question inévitable, c’est le fruit de consensus entre qui et avec qui...

A première vue, c’est le premier revers de la recherche effrénée de respect des dispositions constitutionnelles ainsi que les conséquences fâcheuses qui en decoulent...

Notamment l’article 54 de la loi fondamentale sur la nomination du Premier ministre à partir de propositions issues du groupe parlementaire majoritaire au sein de l’Assemblée Nationale...

Sachant que cette majorité lors de l’actuelle législature est issue de IRMAR/TGV de l’ancien régime déchu du Calife.

De plus, des faits troublants dans le passé du nouveau Premier ministre ne jouent pas en sa faveur auprès de l’opinion, surtout auprès des manifestants et de l’opposition de diverses sensibilités dans son ensemble...

Un premier faux pas de l’homme fort de la transition politique...

Le parcours professionnel et relationnel du nouveau chef de gouvernement, de toute évidence, sème un sérieux doute sur sa capacité à mener une vraie refondation de la République et la transformation des attentes et aspirations populaires en projet politique réel inscrit dans une rupture totale avec les pratiques kleptocrates de l’ancien régime...

Bref, un contexte notoire à préciser ici : le nouveau chef du gouvernement est un membre de la « franc-maçonnerie »...

Le Colonel, Chef d’Etat a encore le temps d’annuler sa nomination dans un bref délais en lui invitant de déposer sa démission, et de nommer un autre premier ministre avant qu’il ne soit trop tard... Les mouvements de manifestation risquent de s’amplifier dès aujourd’hui même...