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Voici deux jours que des renforts et des commandos spécialisés ont été dépêchés dans la zone où ont sévi les quelques 300 dahalo armés ; mais depuis aucune information de l’avancement de la mission militaire alors que des généraux y conduisent les opérations et négociations. Ce mutisme en tout cas n’enraye pas les suppositions alarmistes et autres commentaires qui alimentent le climat d’insécurité qui règne dans les esprits. Ce vendredi 15 juin un communiqué émanant de la cellule communication de la Primature s’étale plutôt sur les inaugurations présidées par le Premier ministre qui était accompagné de la ministre de la Justice. Cette délégation gouvernementale a procédé à deux séries d’inaugurations d’infrastructures judiciaires. Il s’agit du Tribunal de Première Instance d’Ambovombe, composée d’une salle d’audience ainsi que de 12 bureaux, dont le bureau du Procureur, ainsi que de la Maison d’Arrêt, d’une capacité de 150 personnes.
Dans son allocution, le Premier Ministre Omer BERIZIKY a déclaré que ce Palais de la Justice est une instance destinée à protéger tous les citoyens malagasy, à faire respecter la justice et les lois et à faire régner la confiance. Il a également clairement affiché sa détermination à poursuivre ceux qui ont assassiné leurs propres compatriotes, tout en précisant qu’il ne faut à tout prix recourir aux armes, qu’en cas d’extrême nécessité. Quant à la prison, elle doit être un lieu de reconversion et non de sanction.
Le Premier Ministre s’est adressé tout particulièrement aux deux magistrats, nouvellement affectés dans cette région, en leur demandant un comportement exemplaire, devant servir de modèle pour la population.
Concernant le climat d’insécurité qui règne dans cette zone, le communiqué indique que la délégation conduite par le Premier Ministre se rendra ce samedi 16 juin à Esira, pour constater de visu les origines de cet excès de violence et non pas uniquement se contenter de rectifier les erreurs. Le Premier Ministre a, par ailleurs, offert deux tonnes de riz aux personnes qui ont été obligées de quitter leurs villages pour raison de sécurité ; sans compter les dons que ne manqueront pas de faire des organismes onusiens comme le PAM précise le communiqué.
Recueilli par Bill
Vos commentaires
« Il a également clairement affiché sa détermination à poursuivre ceux qui ont assassiné leurs propres compatriotes, tout en précisant qu’il ne faut à tout prix recourir aux armes, qu’en cas d’extrême nécessité »
Contre les manifestants pacifiques de Tana, d’accord ; contre ces bandits du sud, l’extrême nécessité n’est plus à discuter. C’est l’occasion ou jamais pour nos militaires de démontrer leur utilité et leur efficacité (Il faudrait aussi y dépêcher le Gal Ra8 qui aime tant à pérorer et le Col Lylison réputé tireur d’élite).
Puisse aussi ce tragique événement faire réfléchir les loueurs d’arme de guerre et leurs collègues (ou frères d’armes) qu’ils pourraient servir de cible à leur tour. Avant, ces armes étaient souvent utilisées à simple titre d’intimidation. Maintenant, elles servent à massacrer tous ceux à portée.
Bonjour.
Les forces armées ne pouvant claironner sur leurs prouesses, le mutisme sur leur incompétence et inutilité à etre en plus de payé , nourris pour rien , est bien la moindre des descences
A l’ heure ou en est le Pays , on voit bien la priorité de la Hat , construire des prisons d’ une capacité de 150 clients , pour les 300 dahalo, il va falloir attendre soit une nouvelle inauguration soit que les 150 premiers aient purgé leur peine pour occuper les places encore chaudes des premiers .
A l’ heure ou l’ on devrait construire des écoles , des hopitaux , developper les moyens de communications , les centrales et toutes autres formes de développement .
Concernant les magistrats qui doivent servir d’ exemple à la population assurément le cas de celui de Tuléar à ne pas suivre ...
Depuis quand les magistrats « doivent servir d’ exemple » !!!
1) ce n’est absolument pas leur vocation
2) Eux memes , comme les citoyens s’ en tamponnent comme de l’ an 40 .
3) donner 2 T de riz pour faire partir les personnes , voilà une technique qui semble provisoirement radicale , le temps que les dahalo les aient engloutis avec le reste .
Que ces « inaugurateurs » commencent par montrer l’ exemple au lieu de choisir comme d’ hab la solution de facilité en le demandant aux autres !
On reste dans le bling bling avec des inaugurations de plus en plus futiles , mais que ne ferait-on pas pour se donner de l’ importance , quitte à se ridiculiser , chacun ses « moyens » pour obtenir la reconnaissance internationale, le tout c’ est qu’ ils le croient , pendant que le reste de la population de plus en plus affamée se rapproche de cette guerre civile en gestation depuis trop longtemps ,on s’ en fout on n’est pas pressé ...
Tiens , Jipo qui se met a parler de guerre civile ....
Moi je souhaite qu’il n’en est rien .
Ce qui me réjouit c’est de voir une photo dans midi-madagasikara de Ravalomanana et de Rajoelina se serrant la main
Cette photo a du rendre vert de rage l’anti-merina primaire bien connu du forum ainsi que les Iarivo et cie
A propos , Iarivo je relance 10 000 de plus et je dis echec
il n’y aura jamais de guerre civile à Madagascar même si Ra8, Ratsiraka et consorts ont tenté de la provoquer, mais en vain. La photo dans midi n’indispose personne sauf pour sa banalité et la stupidité qu’elle incarne, celle qui consiste encore à croire à l’intelligence et à la bonne foi de ces deux fouilles mer.des de la politique récente de Madagascar.
Le peuple malgache n’est pas à réduire au gros bras et les racistes journalistiques et pseudo-intellectuels qui peuplent la Capitale, encore moins à une poignée de pseudo-parlementaires ayant les dix doigts enfoncés dans leur derrière qui les empêchent de reflechir ; ni aux racistes constipés qui, de leur terre de résidence à l’étranger (canada, france, Usa etc.) vitupèrent et crachent leur ignorance, et dévoilent leur inutilité aux malgaches qui subissent leur âneries.
Rakotoasitera Fidy !
Je vois que vous êtes attiré par tout ce qui est artificiel et illusoire !!!
Ravalomanana et Rajoelina se serrant la main n’est pas une nouveauté puisque pendant toutes cette série de négociations depuis 2009 combien de fois ne l’ont-ils pas fait ?
De toute façon je l’avais déjà suggéré dès 2009 sur My Dago que la meilleure des issus de cette crise serait que Ravalomanana et Rajoelina se serre la main en signe de réconciliation et de paix pour enfin travailler ensemble pour le plus grand bien de Madagascar.
Mais, à cette époque, quelle avait été les réactions des intervenants sur MyDago, un site monopolisé et verrouillé par les « Zanak’i Dada » ?
Comme d’habitude une multitude d’insultes, d’injures et autres grossièretés de bas étages, car pour eux Rajoelina devait être éliminé purement et simplement sans aucun compromis, et Ravalomanana remis sur son « trône » purement et simplement sans aucun compromis !!!
Mais voilà, depuis j’ai « évolué » en prenant du recul vis-à-vis de cette crise pour en arriver à la conclusion que cette « poignée de main de la paix » était impossible au moins pour 2 raisons :
1. Cette crise ne se réduit pas à un problème (ou conflit) personnel entre Ravalomanana et Rajoelina.
2. Rajoelina n’a aucune autorité, aucun pouvoir décisionnel quant à la conclusion de cette crise si ce n’est que de celui de se conformer à la mission que lui a confié le noyau dur de la HAT.
Dans le passé récent, il y a déjà eu des dizaines de rencontres entre Ravalomanana et Rajoelina et celle qui viendra n’en sera qu’une de plus.
– Un éventuel accord à l’amiable ???
S’il se concrétisait, Il ne pourra que se limiter à la seule définition des modalités à appliquer pour la mise à l’écart « volontaire » de Marc Ravalomanana de la scène politique malagasy (retrait politique), probablement accompagné de conditions de part et d’autre des 2 protagonistes.
Mais ne serait-ce pas là la réalisation concrète de l’objectif premier (le seul et unique) du mouvement orange ???
Jipo,
DEHORS !
Merci
Madagascar aux Malgaches.
Basile RAMAHEFARISOA
1943
b.ramahefarisoa@gmail.com
A peine levé vous déféquez également par le haut !.
L’exportation des bois de rose, de l’or sont actuellement prohibées. Il ne reste plus que cette affaire juteuse : exportation des bovidés
La seule solution : arrêter pour une période déterminée cette exportation et aussi la détention d’arme à feu en milieu rural pour une durée disons 15 ans et voilà !
Adressez votre requète au neveu de Rabehevitra George , le trop fameux général de pacotille qui a subitement disparu de la circulation
Le mutisme des forces armées est responsable, car il ne faut surtout pas sombrer dans la théatralisation d’une telle opération où la vie des otages fait, actuellement,l’objet de négociation.
S’il ne s’agissait que des « dahalo » et « militaires », cette opération aurait dû déjà être terminé avec l’écrasement total de ces bandits financés par les politiciens mafieux. Mais, ce n’est point le cas : Il y a D’ABORD la vie des « otages » qu’il faille coûte que coûte sauver.
Attendre donc à un étalage médiatique des cours des évènements c’est peu responsable et assez naIf.
Ce qui est rassurant, c’est de constater qu’enfin la vie d’une centaine de Dahalo va, d’ici peu, passer au trépas. Donc, des centaines de Dahalo en moins. Cela est rejouissant. Mais, il faut négocier - autant qu’on pourra - le sort des otages.
Que les esprits s’alarment, il n’y a rien de plus normal. Que les partisans de Ra8 prient pour que les Dahalo en sortent gagnant dans ce combat, il n’y a rien de plus stupide, mais aussi normal, car on sait quel âme les habite. Que le peuple souhait un retour à la normal, est, encore, de très normal.
En tout état de cause, les dahalo périront quel qu’en soit le prix à payer. Donc, patience, on ne peut pas aller plus vite que la musique en mettant en danger inutilement la vie des otages. Les tireurs d’élites sont sur place, des soldats disposés à accomplir leurs devoir, y sont aussi. Les gris gris des dahalo peuvent toujours leur faire croire qu’ils sont invincibles, ils sauront bientôt qu’une balle n’a jamais eu peur des fetiches, sinon cela se saurait.
Donc, calmez vous Bill, c’est une question sérieuse qui exige du sérieux, de sang froid et d’intelligence.
Voilà un autre chien de Rajoelina qui sombre dans la c.o.n.n.e.r.i.e
Et voilà un clébard de Ra8 qui exprime le sommet de son intelligence...
Toutoutojo s’enerve car il n’a pas eu , lui aussi son nonos .. c’est dommage que
son maitre ne lui a jamais appris la patience
Rendez vous dans dix ans JR
Il n’y a aucun énervement dans mes propos. A moins que vous ne trouvez que des « nerfs » tendus dans tous propos qui ne ressemblent pas au votre. Si c’est le cas, les nerfs tendus se trouvent plutôt chez vous.
La Patience, dites-vous ? C’est une vertu incomplète. Dans le cas d’espèce ici, c’est le journaliste Bill qui ne l’est pas.
Dans 10ans ? Peut-être ! Peut-être pas !
Pas logique votre remarque : pour pouvoir y sombrer, il aurait fallu qu’à un moment donné il n’y fût pas ! Or, à le lire, il est évident qu’il s’y vautre comme un cochon dans son auge depuis fort longtemps !
Voilà bien la mentalité, l’attitude, la réaction d’un « Zanak’i Dada » !!!
Toujours dans la vulgarité, les injures et autres insultes, les attaques personnelles si ce n’est pas sur la personne !!!
C’est là tout l’état d’esprit d’un « Zanak’i Dada » qui, dans l’incapacité de débattre intelligemment et avec cohérence, plonge rapidement dans la vulgarité la plus malsaine.
– D’ailleurs qui sont-ils ces « Zanak’i Dada » ?
Rien que le nom qu’ils se sont donné apporte déjà la réponse !!!
De simples d’esprit qui ont besoin d’un « tuteur » (dans son sens judiciaire) pour exister ou plutôt se donner l’impression d’exister !!!
Sans leur « Dada », ils ne seraient rien, ou plutôt ils auront l’impression de n’être rien !!!
C’est toute la problématique des sectes et de leurs adhérents, leurs disciples, leurs « ouailles », de leur rapport avec leur « gourou » !!!
La « réussite » de Marc Ravalomanana n’est qu’un « mythe », le « mythe » Marc Ravalomanana, mais un « mythe » qui a ses adeptes dévoués, zélés, fanatisés, les « Zanak’i Dada » !!!
Un « mythe » qui avait été totalement façonné par les « Hery Velona » à partir de 1994 dans le seul et unique but de l’opposer à Didier Ratsiraka qu’il fallait évincer à tout prix de la Présidence.
Marc Ravalomanana n’est qu’une coquille vide, totalement vide, mais grâce au « mythe » ainsi créé, ses « admirateurs » (à peine quelques dizaines de milliers) y croient dur comme fer et s’y accroche même au prix de mettre Madagascar et le peuple malagasy à genoux !!!
Mais c’est bien là la caractéristique principale de tout mouvement sectaire !!!
To Be or Not To Be !!!
Selon l’AFP.
– "Rencontre du Président Marc RAVALOMANANA et andry nirina rajoelina aura lieu après le 26 juin 2012.
Tant mieux Basile, ils pourront ainsi mesurer qui des deux a les co.illes les plus longues ou plus dures... au sens propre comme au sens figuré !
Ni voyez surtout pas une insulte dans cette phrase puisque c’est la pure vérité, réfléchissez-y un peu, vous y trouverez la réponse ! Réfléchissez, réfléchissez !
En tout cas, si cela se confirme, Marc Ravalomanana et sa mouvance ont perdu une fois encore puisque la réunion aura lieu après le 26 juin !
– Pensez-vous que ce soit dans dans de telles conditions que Marc Ravalomanana pourrait s’imposer, maintenant ou plus tard ???
Andry Rajoelina marque un point de plus en sa faveur !
Iarivo,
Dîtes-vous que « NOUS » avons perdu.Loin de cela,nous nous réjouissons du retour imminent du Président Marc RAVALOMANANA parce qu’andry nirina rajoelina ne trouve plus de « PRETEXTE » pour éloigner cette famille de la scène politique Malgache.
« TOUT LE MONDE AU TRAVAIL POUR LE PAYS,Madagascar » !
BON RETOUR AU PAYS Monsieur le Président Marc RAVALOMANANA et Famille.
VIVE MADAGASCAR
Madagascar aux Malgaches.
Basile RAMAHEFARISOA
1943
b.ramahefarisoa@gmail.com
C’est bien, c’est bien, un rêve est toujours magnifique sinon cela aurait été un cauchemar !
Et pour rester dans votre logique :
« Madagascar aux Malgaches et tous les Malgaches à Madagascar ! »
Un célèbre slogan de Mai 1972...
Au fait, qu’entendez-vous par « imminent » ???
Un jour ? Un mois ? Un an ? 10 ans ???
Restons « simple »,imminent :
– « Qui est sur le point d’avoir lieu ».
Cordialement
C’est vague, très vague !
Cela peut être dans 1 heure autant que dans 10 ans, tout dépend de l’échelle dans laquelle on veut se situer et donc permet d’éviter les réflexions trop « pointues »
C’est une habitude chez les « Zanak’i Dada » puisque c’est ainsi qu’ils se sont positionné depuis 3 ans !
L’espoir fait vivre les ...., et nous le constatons chaque jour à la lecture de leurs commentaires !
Manaona daholo oo ?
tena mahaliana ahy mihintsy ity resaka dahalo ity, ary lasa ny eritreritro oe marina aminy lafiny ray ny tsy hamonoana ireo dahalo ireo satria dia miaiky ny fahaizan’i Menabila sy Tokanono aho aminy fahaizany mifehy ny équipe ny, ra mba io moa no lasa minisitry ny fiarovana rahatrizay ?tena mendrika hanana ny grade ny générale mihintsy raha toa ka miaramila, aza atao hoe adaladala io eritreritro io fa resaka politika mety mihodina ny kodiarantsarety an !!
Raha toa ka hogadraina indray ny dahalo azo, olona efa zatra namono olona tena kely ny finoako ny oe tsy hamerenany indray efa nahita ny tsirony vola, ary aiza daholo no hasiana azy ireo ??de mbola handany vola indray ve hikarakarana anireo nefa ny vahoaka tsy manantsiny ato efa reraky ny adimpiainana sy ny hanohanana tsy aleo zaraina amin’ireo ny soasy ?raha mba nanan’asa manko dia mety ho nihena ny isan’ireo tanora mpanao ratsy tsy fidiny fa sendra diso lalana. fa ity fanondranan omby ity no tena fositra, efa tena nahiako mihintsy raha vao nadre io fanondranana omby io aho, ahondrana daholo izao tsy fanondrana izao matimaty ny devise nefa ny eto antoerana mpivarotantely milelatanana. Na inona na inona volabe ampidiriny fanondranana dia izaho contre foana ratoa ka tsisy ambimbava ho any gasy sy fiarovana ny zavatra malagasy izay antsika samirery (omby , sokatra , maky sns ). samia mandinika e
tsy vao izao no manao ny ataony ny dahalo tompoko, natao hidaroka mpanao fihetsiketsehana politika ny miaramila gasy, natao hiaro ny mpitondra manome ranondranony, be galona be ny eto fa miala tsiny fa tena mandany volam- bahoaka fotsiny, mahamenatra loatra, tsy vao izao io fa hatr@izay , natao inona ny chars avy eny arivonimamo , natao fitaovana handrobana ny palais présidentiel , atao inona ny soldat gasy, natao hanao corvet mamafa camp , camp natao hampiderana galona , galona entina midaroka etsy @ 13 mai, c’est tout !
Il y dahalo et dahalo dans l’histoire récente de Madagascar. Pour les vrais dahalo, il va sans dire que l’état est responsable de la sécurité de la population. Si un gouvernement est incapable d’instaurer la sécurité de manière durable, c’est un très très gros problème.
Mais allons aux faits. Si des observateurs onusiens et autres experts y sont allés, il y a certainement des raisons humanitaires mais y-a-t-il d’autres raisons ? Quand les troubles dans le Sud en 1971 avaient eu lieu, le gouvernement d’alors assimilaient le peuple affamé et sans eau comme des dahalo. Les gendarmes avaient sévi pour mater ce rébellion avec toutes les conséquences que nous connaissons (en partie d’ailleurs pour la plupart des Malagasy, des zones d’ombre restent). Dès lors, prenons des précautions avant de certifier que les troubles actuels proviennent exclusivement de vols « ordinaires » de zébus à but commercial ; là on parle de 300 dahalo, voire 900 dahalo. La paix doit être instaurée, c’est la moindre des choses, mais il faut savoir quelle paix pour que cela soit juste et durable !
Avec toutes les aides versées dans le SUD de Madagascar,quels sont-ils les « RESULTATS PALPABLES ».
Le dahalo est un « phénomène de société dans une partie sud de Madagascar ».Faut-il s’étonner qu’à cause de la transition,de l’argent facile pour certains,que le mouvement de dahalo se développe dangereusement,jusqu’à former une « bande bien armée en armes de gros calibre » ???
A qui profite ce développement de dahalo ?
Basile RAMAHEFARISOA
1943
b.ramahefarisoa@gmail.com
Puisque vous voulez du son , faute d’ avoine :
Les dix stratégies de manipulation de masses
lundi 4 octobre 2010
Le linguiste nord-américain Noam Chomsky a élaboré une liste des « Dix Stratégies de Manipulation » à travers les média. Nous la reproduisons ici. Elle détaille l’éventail, depuis la stratégie de la distraction, en passant par la stratégie de la dégradation jusqu’à maintenir le public dans l’ignorance et la médiocrité.
1/ La stratégie de la distraction
Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser ; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »
2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions
Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple : laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.
3/ La stratégie de la dégradation
Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.
4/ La stratégie du différé
Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.
5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge
La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans ». Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »
6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion
Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…
7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise
Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »
8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité
Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…
9/ Remplacer la révolte par la culpabilité
Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution !…
10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes
Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.
Noam Chomsky
Jipo !
oust !
Basile RAMAHEFARISOA
1943
b.ramahefarisoa@gmail.com
De nouveau, regardons sous un autre angle ce phénomène de dahalo, car on a tendance à mettre dans le même panier tous les « dahalo ». Les Menalamba étaient considérés comme des dahalo de leur temps, les indiens d’Amérique étaient assimilés à des dahalo pour les immigrants européens. Les dahalo existaient déjà dans le sud (il n’y a qu’à voir l’âge de Remenabila). Nous savons aussi que des phénomènes analogues existaient dans le moyen ouest où récemment (durant la transition) des unités de militaires ont rebroussé chemin face à des habitants par centaines armés. Cette fois ce n’était pas question de vols de zébus mais d’exploitation de gisements de pierres. Eh oui ! sur le terrain, ce n’est pas ausi facile que cela. Allons sur le terrain car on ne sait pas tout sur internet. Les rébellions se mélangent avec des vrais banditismes.
C’est pour cela que je me suis contenté de dire :"A QUI PROFITE CE DEVELOPPEMENT DE DAHALO,bien armé, avec des armes de gros calibre ou armes de guerre ???
Basile RAMAHEFARISOA
1943
b.ramahefarisoa@gmail.com
Tsy circonscription an’i Richard Ravalomanana any azafady
fa Sandtown no an’i leiry ! Hi hi hi !!! Lasa lavitra mihitsy
inty adalana inty