La durée de travail hebdomadaire est remise en cause suivant des directives pas toujours compréhensibles. On veut augmenter les heures de travail jusqu’à 48h par semaine contre 35 heures actuellement. Les travailleurs refusent que des droits acquis leur soient retirés. Le droit au congé annnuel de 30 jours est menacé d’être réduit de moitié. Ils ont déjà avisé l’Organisation internationale du Travail. Pendant ce temps, rien n’est dit quant aux rémunérations, aux salaires.
Les organismes internationaux et la société civile se préoccupent ces derniers jours de l’ampleur du chômage et du sous-emploi. Mais la surexploitation de la main d’œuvre encadrée les laissent indiférents. Pourvu que ces hommes ou femmes aient un boulot. En tout cas, personne n’est sans savoir, les traitements subis par des travailleurs qui évoluent chez certains opérateurs ; et pourtant personne n’ose les dénoncer ouvertement ou publiquement car ils sont puissants, économiquement, financièrement et ils sont là depuis plusieurs générations.