À compter de Novembre 2009, le DG du CITE ne sera plus payé par le ministère français des Affaires étrangères mais par le CITE lui-même, et sera nommé par le Conseil d’Administration.
Le CITE œuvre pour le développement économique et social de l’ensemble des opérateurs économiques de Madagascar grâce à un réseau de proximité de 13 antennes. Il est devenu une entreprise d’appui à mission sociale en offrant des prestations d’appui aux petites entreprises et opérateurs, en combinant information, formation et appui-conseil.
Vos commentaires
Profitons de cette transition pour « INSTAURER » à Madagascar une carte de travail obligatoire pour tout étranger à Madagascar,même les « bi-nationaux »,pour l’avenir de nos jeunes.Pas très populaire comme initiative mais le contrôle strict des étrangers est une arme absolue pour la sécurité(deux pakistanais arrêtés pour braquage,67 ha).
Basile RAMAHEFARISOA(2)22ramahefarisoa
mahagaga ve ??? miditra daholo izay te hiditra !!!
visa gratuit ???
ny fisavana ny gasy aza no voasava noho ireo vahiny ???
Mahefarisoa a raison.
Le pays est presque devenu un « dépotoir » ; on y entre comme dans un moulin dès lors qu’on paye 60 euros à Ivato. Dans certains pay son exige un certificat médical d’une autorité assermentée avant d’obtenir le visa afin d’éviter que les maladies n’envahissent la population autochtone
la fouille : la consigne est la suivant : il ne faut pas trop embêter les étrangers. Certains de nos compatriotes ont encore la tare du colonisé (même s’ils sontnés aaprès 1960. Le complexe du petit nègre !
A la prochaine.
Et de refaire les cartes d’identité et verifier l’ADN qui prouve bien que la personne est bien malgache.
On verra bien les batards, avec un bout de sang ou de penchant français.
Basile Ramahefarisoa doit nous proposer quelque chose pour les gens qui ont du sang africain, indiens, malais ou asiatiques.
Il faut voir aussi la condition de moralité. Les fachos seront déchus de la nationalité malgache.
C’est dans ce centre que je lisais des volumes. Aujourd’hui je suis amer quand à la façon dont la France traite les malgaches et leur souveraineté malgache, en posant des oeillères, par la force des canons achetés.