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D’après les déclarations du DG de la JIRAMA, les longues coupures dans la nuit du mardi 4 octobre jusque dans l’après-midi du mercredi 5 octobre sont dues au retard dans le ravitaillement en carburant (fuel oil et gasoil) des centrales thermiques. En fait, personne ne savait plus de quoi il s’agissait car les services dépannages de la JIRAMA n’étaient même plus accessibles par téléphone que cela soit par portable ou par le téléphone fixe ; à l’autre bout du fil, cela sonnait toujours comme si la ligne était occupée en permanence. Tous les commentaires et questionnements allaient bon train, se demandant si c’était des délestages définitifs ou si c’était la centrale d’Andekaleka qui était en panne pour des raisons météorologiques – car il faut dire que la partie Est de la capitale était ce mardi soir couverte de gros nuages noirs qui pouvaient présager de fortes pluies ; mais la réalité ne correspondait pas à ces hypothèses. Heureusement !
Ce matin du mercredi 5 octobre, le Directeur général de la JIRAMA par son responsable de la Communication, a pris la peine d’informer sa clientèle fidèle, déjà apprivoisée à subir les coupures et les mauvais services qu’elle offre, comme quoi, ce ne serait nullement sa faute mais la faute aux fournisseurs de produits pétroliers prestataires de service. Au lieu des 9 camions citernes prévus lui parvenir pour le fonctionnement de ses centrales, seuls 7 camions-citernes ont effectué leurs livraisons jusqu’à une (1) heure du matin du mercredi 5 octobre. Bref, ce n’est pas la faute de la JIRAMA. Le DG de la compagnie nationale d’eau et d’électricité a rassuré la population que la situation est désormais redevenue à la normale et qu’une telle catastrophe ne se reproduira plus. Effectivement, hier soir, la JIRAMA a rempli son contrat envers sa clientèle car il n’y eut pas de coupure d’électricité dans la capitale sauf celle signalée par Viva télévision dans le quartier d’Anosipatrana, semble-t-il en plein milieu de son journal télévisé.
Vos commentaires
AOURT y est certainement pour quelque choses !
La gestion est mise en jeu, elle ne sait plus la consommation journalière de ses machines qui est élémentaire dans la vie, elle a 7 citernes au lieu de 9 c’est bizarre.
Avelao hisokatra ny fifaninanana fa ho foana io fahatapahan’ny jiro io rehefa tsy misy ny « monopole » toy izao.
Amin’izay koa voaraoka ireo mpiasa « tai-kafe » ao amin’ny Jirama rehefa misy ny mpifaninana aminy.
Mpihomehy, voila une proposition sérieuse qui ne fait pas rire. Mais pourra-t-on encore se remplir les poches ? (allusion à un HATiste qui s’était fait remettre la caisse d’une agence de la JIRAMA en province)
Zaranay aza maty mandrakizay io jiro io fa tsy misy hatorianay.
Inona no fanovana hita @izao. FANDRAVANA NO BETSAKA. 7/9 HONO NO CITERNE TONGA DIA TSY MAHAREHITRA JIRO. SENDRA IZAY OLONA V SY G NA NY ENTINA NA NY MPITONDRA. DIDIMASO ASIAMPANAFODY E !
Mandrapifoha.
Marina izany, avelao hisokatra midanadana ny fifaninana.
jirama+concurrent 1+concurrent2+concurrent3+concurrentN = ASA BE DIA BE (tant pis pour l’Agoa)
efa nanapa-kevitra rahateo ny fitondram-panjakana ka nanapaka hazo maromaro amin’izay mba mihena ny orana latsaka, betsaka ny asa azo foronina avy eo satria mila mitady gasoline havadika herin’aratra, betsaka ny orinasa lehibe hiforona.
izaho anie efa miteny foana fa olona misaina ireo mpitondra antsika ireo e.