Bagues, collier, pendentif, boucle d’oreille, …. Femme ou jeune fille ne se prive pas de ces accessoires et met de côté un budget pour en acquérir. « Je fais une collection de ces bijoux dans une grande boîte chez moi, de toutes les couleurs e avec des divers modèles qui correspondent à mes vêtements de mode », confie Suzanne une jeune femme de 19 ans, qui arrive à dépenser « entre 20 000 Ar à 80 000 Ar par mois ».
Partout dans cette ville, les vendeurs des bijoux poussent comme des champignons à chaque coin de la rue. En ce qui concerne ces bijoux fantaisie, les femmes sont les plus intéressées.
Attention à la qualité
Dès que le prix est abordable, elles peuvent en acheter beaucoup, voire même plusieurs modèles. De plus les produits chinois occupent la plupart des marchés. Du fait que les chinois proposent les mêmes modèles que ceux qui se trouvent dans les bijouteries à Antaninarenina par exemple. Mais la qualité les différencie : soit ce sont des fausses pierres, soit la matière en elle-même est fragile donc pas solide. De plus, ils sont souvent source d’allergie. D’ailleurs c’est plus avantageux d’acheter les vrais bijoux comme l’or, l’argent au lieu de d’être attiré par les moins chers. Pour ces bijoux en toc, le nettoyage n’est pas possible et les réparations ne sont pas garanties. Vu la piètre qualité des bijoux fantaisie, il vaut mieux acheter des bijoux en or ou argent plutôt que dépenser des sommes pour ces objets clinquants mais éphémères. Cependant, le client a le libre choix selon ses goûts ou de ses petites économies.
Le bijou est destiné pour tout âge même les hommes en achète. On peut le porter à toute occasion ou l’offrir comme cadeaux. Chaque vendeur à ses propres clients et ses propres tarifs selon le modèle et la valeur.
R. Manitriniaina Colombe
