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Politique

Ministère des Affaires étrangères

Le Gal Richard Rakotonirina a pris ses fonctions intérimaires

mercredi 26 octobre 2022 | Mandimbisoa R.

La passation de service entre l’ancien ministre des Affaires étrangères, Richard Randriamandranto et son intérim, le ministre de la Défense nationale, le Gal Richard Rakotonirina s’est déroulée hier, matin, loin des regards de la presse et en présence des directeurs de cabinets de deux ministères. Cette passation intervient, une semaine, jour pour jour, après le limogeage du chef de la diplomatie malagasy.

Aucune déclaration pour le ministre sortant, comme il l’a d’ailleurs fait lors de sa passation de service avec son successeur au ministère de l’Economie et des Finances, à l’époque où le président a confié ce poste clé à Rindra Hasimbelo Rabarinirinarison, ancien secrétaire général du ministère. Quoi qu’il en soit, Richard Randriamandranto a visiblement du mal à digérer ce limogeage.

Le Général Richard Rakotonirina pour sa part a reçu le personnel du ministère. Il a tout de suite pris ses fonctions en recevant les nouveaux ambassadeurs de l’Inde, du Japon et d’Israël à Madagascar qui lui ont présenté les copies de leur lettres de créances.

21 commentaires

Vos commentaires

  • 26 octobre 2022 à 10:29 | arsonist (#10169)

    Marasily izany no miandraikitra ny Raharam-bahiny foza !

    Misy ady any Europe koaaah !
    Any Mali sy RCA koa dia efa tafakatrin’ny wagner an’i "Putler’’ mihitsy koa !

    Ny foza koa milaza fa tsy momba na iza, na Iza, amin’izao ady efa mangotraka any Europe Antsinana izao !

    • 26 octobre 2022 à 16:11 | Ibalitakely (#9342) répond à arsonist

      Efa zatra miatrika « invasions étrangères » [miala tsiny @ ilay pléonasme !!] kosa angamba dia napetraka vojimaika-mandrakizay (provisoire-définitif) Rabegalona.

    • 26 octobre 2022 à 16:13 | Ibalitakely (#9342) répond à arsonist

      napetraka vonjimaika-mandrakizay (provisoire-définitif) ao @ MAE Rabegalona.

    • 27 octobre 2022 à 15:30 | Ibalitakely (#9342) répond à arsonist

      Izany eo ihany fa momba ny ady ataon’ny Rosiana atsy Ukraine dia tena tsy tokony misy na hisy mihintsy izany hoe tsy momba ny atsy na ny ary izany [@ resaka ady ataon’ny Rosiana atsy Ukraine izao]. Ny antony dia tsotra : raha @ tokantrano iray, ny an’I RAJOELINA Andry Nirina ohatra no raisintsika, telo ny zanany ka ilay lahy matoa sady tonga dia midarodaroka ilay zandry lahy no maka matetika ankeriny ny zavatr’ity farany izay tena mitaraina mafy. Dia rehefa mba manontany an’ireo ray aman-dreniny ve ilay zanany vavy hoe “dada & neny, ahoana kosa ny fahitanareo & ny hevitrareo amin’izao Razoky mampijaly tokoa zandry izao ??”, dia ho sahy mamaly ve i Andry & i Mialy hoe “Izahay dia sady tsy momba ilay zokiny ry zareo no tsy momba ilay zandriny”. Ny vokatr’izany tsy fahamatoran’ny mpitondra izany dia tsy maintsy ny vahoaka no hibaby an’izany.

  • 26 octobre 2022 à 10:29 | Sabrina (#4247)

    Quel cinéma ! Mais quel cirque quand même que ce gouvernement de rigolos...

    Sauf que ça ne fait plus rigoler grand monde. Stop !

    • 26 octobre 2022 à 10:36 | MALIBUC (#9345) répond à Sabrina

      C’est le jeu des chaises musicales !
      A qui le suivant ?

    • 26 octobre 2022 à 14:18 | saint-augustin (#9524) répond à Sabrina

      Bonjour,
      La nomination d’1 militaire à ce post est un signal fort pour la politique étrangère malgache .Un clin d’oeil à Poutine et à WAGNER.
      Qui vivra vera.

    • 26 octobre 2022 à 15:12 | kartell (#8302) répond à Sabrina

      La nomination d’un militaire à la diplomatie témoigne avant tout d’un très faible réservoir de civils capables d’assumer, à ses yeux, ce rôle de petit télégraphiste de son Excellence, à la fois, PDG, homme-orchestre d’un état qui cherche à séduire sans parvenir à ses fins ..
      L’homme de la situation revient de facto à un militaire, formaté à la disciplinaire et à la voix de son maître..
      Son Excellence pourra ainsi dormir tranquille, un tel titulaire ne prendra aucune initiative allant à son encontre..
      Mais, nommer un militaire à un tel poste donne le vertige en songeant aux années où les régimes communistes ou ceux d’Amérique du Sud du temps de Pinochet ou des colonels argentins, œuvraient sans entrave …
      Ici, nous sommes loin de ce schéma, néanmoins, il décerne à l’occasion de cette nomination, surprise, une étoile complémentaire à une armée, qui deviendra le pivot essentiel des futures élections présidentielles dans un rôle que son Excellence souhaite être à son unique avantage, quelles que puissent en être les circonstances…

  • 26 octobre 2022 à 11:46 | reviv (#9830)

    Vous avez la tête sur les épaules
    M. Richard Randrimandrato,
    difficile de travailler avec des gens de
    cette « hors classe ».
    Je me demande comment avez-vous fait pour rentrer dans le rang.

  • 26 octobre 2022 à 12:04 | Albatros (#234)

    Désolé pour ce « copier/coller » d’un article paru dans Jeune Afrique daté du 05 septembre 2022, mais je pense qu’il pourra apporter un éclairage à l’article de Mandimbisoa R. !. Il s’agit d’un « interview » de Richard Randriamandranto après sa nomination en remplacement de Mr Rajoelina.

    Citation :

    « Un porte-voix commun », c’est ainsi que Richard Randriamandranto, le chef de la diplomatie malgache, définit la Commission de l’océan Indien (COI). L’ancien ministre de l’Économie et des Finances a été nommé le 16 mars 2022 à la tête du ministère des Affaires étrangères de la Grande Île, en remplacement de Patrick Rajoelina. Il succède aussi à ce dernier à la présidence du conseil des ministres de la COI, dont Madagascar assure la présidence tournante jusqu’en février 2023.
    Si la Commission a défini une dizaine d’axes de coopération régionale, le chef de la diplomatie malgache cible surtout trois priorités : la relance post-Covid, la sécurité maritime et la sécurité alimentaire. Richard Randriamandranto annonce aussi qu’il proposera la tenue d’un sommet des chefs d’État avant la fin de la présidence malgache, alors qu’une rencontre des ministres des Affaires étrangères des pays membres pourrait être organisée autour d’octobre.

    Jeune Afrique : Comment définissez-vous la COI ?
    Richard Randriamandranto : C’est une organisation intergouvernementale destinée à servir de relais pour renforcer la coopération inter-îles. Les pays membres l’utilisent pour parler d’une même voix lorsqu’il s’agit de défendre des intérêts communs. L’organisation facilite également la mobilisation de financements pour des projets communs, par l’intermédiaire du 11e Fonds européen de développement [FED], par exemple.
    Notre ciment, c’est l’océan Indien, mais aussi une culture similaire des peuples et des histoires de migrations par vagues successives. Dans les cénacles internationaux, il existe une grande affinité entre les délégations des pays de l’océan Indien.

    La sécurité maritime reste l’une de vos priorités. Pour quelle raison ?
    La région souffre de la piraterie – surtout dans la partie nord de l’océan Indien –, et de trafics en tout genre : or, faune, flore, drogue… Les intérêts se chevauchent et suscitent de nombreuses convoitises croisées.
    C’est le cas du transport de carburant par voie maritime. La circulation des navires pétroliers venant du Moyen-Orient reste intense, en particulier dans le canal du Mozambique. Il faut donc s’assurer que la sous-région ne devienne pas une zone de compétition incontrôlable entre les négociants de pétrole et ceux qui essaient de profiter des situations de faiblesse sécuritaire pour fragiliser les équilibres des marchés pétroliers. Les transactions se négocient alors que les supertankers sont en pleine mer, et cela peut déboucher sur des situations critiques. C’est un enjeu considérable pour les assureurs, mais aussi pour l’environnement.

    Fin 1ère partie

    • 26 octobre 2022 à 12:06 | Albatros (#234) répond à Albatros

      2 ème partie :

      Concernant la sécurité alimentaire, quel rôle la COI doit-elle jouer ?
      La COI peut encourager la production des denrées de base pouvant satisfaire les besoins de la sous-région. Madagascar étant une île-continent, les pays voisins attendent de cette dernière qu’elle produise beaucoup plus : de légumes, de céréales, de viande… Nous disposons de l’espace nécessaire pour cela, et nous devons maintenant coopérer davantage.
      Par exemple, à Moramanga, à l’est d’Antananarivo, des entreprises mauriciennes envisagent de développer des unités de transformation agro-alimentaire. Alors que, pour l’heure, Maurice importe des produits alimentaires de base depuis l’Afrique du Sud, la Nouvelle-Zélande ou l’Inde, ce qui est regrettable. Cela est dû en partie au manque de consensus en matière de normes alimentaires à respecter entre l’Europe, le Comesa [Marché commun de l’Afrique australe et orientale], la SADC [Communauté de développement de l’Afrique australe] et l’Union africaine.

      Quelles mesures ont été prises à Madagascar pour encourager la production alimentaire ?
      Le problème à Madagascar, c’est la parcellisation des terres. C’est pour cette raison que le président Rajoelina a lancé une vaste réforme foncière, avec la distribution de titres aux agriculteurs qui souhaitent améliorer leur capacité de production. Une loi a également été votée récemment sur le foncier, avec l’objectif de mutualiser les terres, le travail et, en bout de chaîne, l’augmentation des volumes. Mais ce genre de réforme demande des années pour prendre racine.

      Quels sont aujourd’hui les principaux points de blocage ?
      Un nouveau venu qui souhaite développer un projet agricole dans une région se heurte parfois à la méfiance des populations locales et fait face à des conflits fonciers, car cette question est très sensible à Madagascar. Le plus important n’est pourtant pas la nationalité du promoteur mais que le projet fonctionne. Pourquoi n’arriverait-on pas à accroître la production de riz ou de maïs à grande échelle sur la base de modèles qui fonctionnent ailleurs ?

    • 26 octobre 2022 à 12:07 | Albatros (#234) répond à Albatros

      Suite et fin :

      Comment encourager la relance économique post-Covid ?
      La relance économique post-pandémie passe par la promotion, à Madagascar, d’investissements qui ont des impacts à l’échelle de la sous-région. Pour cela, il faut développer la connectivité inter-îles, par le transport, mais aussi par l’utilisation des technologies digitales.
      Compte tenu de l’histoire coloniale, le port de Toamasina est tourné vers l’est, vers La Réunion et Maurice. C’est aujourd’hui l’une des interfaces portuaires les plus importantes d’Afrique, avec un trafic de 6,6 millions de tonnes par an, et son extension sur 10 hectares sera opérationnelle d’ici à 2025. Mais nous n’avons pas encore développé d’axe vers l’Ouest, du côté du continent.
      Autre exemple de coopération possible : le port d’Ehoala, à Fort-Dauphin [Tôlagnaro, dans le sud-est de la Grande Île], qui, à condition d’être modernisé, pourrait rivaliser avec les ports sud-africains de Durban ou de Port-Elizabeth. Pour le moment, il sert surtout à exporter des produits miniers.

      La question des îles Éparses peut-elle être traitée au sein de la COI ?
      Les questions de souveraineté restent sensibles. Nous poursuivrons les négociations pour trouver un consensus gagnant-gagnant avec la France sur les îles Éparses. Leur appartenance à Madagascar n’est plus à discuter. Mais il faut aussi comprendre que la France a conforté ses droits et qu’elle ne cédera pas un centimètre de son territoire, car ses dispositions constitutionnelles ne le permettent pas. Dans le courant du mois de septembre, une commission mixte doit se pencher sur ce dossier épineux, qui ne devrait néanmoins pas compromettre les relations entre les deux pays.

  • 26 octobre 2022 à 12:12 | Albatros (#234)

    On peut comprendre, comme le note Mandimbisoa R., ... que Richard Randriamandranto a eu du « mal à digérer ce limogeage. » !.

    D’après un post d’un des forumistes de MT, dont je n’ai pas retenu le pseudo (désolé !), il semble qu’il ait eu une belle « compensation » pour son départ ! (J’ai cru comprendre qu’il s’agissait d’un avion !).

  • 26 octobre 2022 à 12:42 | kartell (#8302)

    Son Excellence racle ses fonds de tiroirs sous l’oeil, satisfait d’Andreev Andrey Vladimirovich qui voit dans cette initiative présidentielle, médiatique, toutes les raisons d’envisager un avenir serein dans des relations bilatérales, à l’aube de n’être plus qu’unilatérales !..…
    Cet audacieux rétropédalage est un acte d’allégeance qui parle mieux que tout autre déclaration sur une neutralité, serpillière, soldée, qui n’ose pas afficher clairement son choix de coulisse, mais, c’est tout « com » !..
    En réalité, son Excellence fait un transfert entre ces annexions russes et celle, inaccessible des Éparses dans un contexte, totalement différent mais où la fierté nationale, la frustration et l’autocratie sont causes communes et valeurs de copier/ coller, où l’un est passé à l’acte tandis que l’autre ronge son frein !..
    Le choix d’un militaire donne aussi le tempo du style de diplomatie avec laquelle son Excellence entend boucler son mandat ..
    Le droit dans ses bottes est loin d’être ce qui va faire avancer les choses, bien au contraire, il risque de figer un peu plus les contentieux qui dès aujourd’hui passeront en mode stand-by, voir en commissions alibis !..
    Mais, en poussant le bouchon, au-delà, d’une ligne, certes, insatisfaisante, mais, qui lui permettait de conserver des relations acceptables avec Paris qui, restera, qu’on le veuille ou non, un partenaire incontournable, son Excellence joue à l’apprenti-sorcier dans un objectif de politique intérieure pour se présenter aux prochaines élections comme étant celui qui a osé défier le colonisateur alors, même que ses prédécesseurs ont toujours fait profil bas..
    Mais entre vouloir, pouvoir et obtenir, le chemin sera long et parsemé d’embûches voir utopique d’autant que l’on sait à qui proférait « cette restitution », certainement pas à ceux qui, aujourd’hui ou demain crieront famine et du travail !..

  • 26 octobre 2022 à 12:50 | Jipo (#4988)

    Bonjour .
    On ne peut que déplorer que cet individu noceur des bals poussières est en train d’ instaurer un état militaire à la Birmane à Madagascar, comme si ce « paradis « avait besoin de ces écervelés en rangers & ray ban pour mater des sans dents qui crèvent déjà de faim !
    faire rentrer ces « gradés » sans quasiment aucune formation dans la bergerie, ne peut que présager d’ un futur état totalitaire , dont il sera bien difficile de se débarrasser ...
    Il faut dégager ce kon le plus rapidement possible !
    Malagasy WAKE UP !

  • 26 octobre 2022 à 15:14 | Albatros (#234)

    @ Kartell (post de 12:42)

    Il est bien évident que Rajoelina « marche sur des oeufs » en ce qui concerne les Iles Eparses !.
    A trop « crier au Loup » pour obtenir un droit de regard sur ces iles (vous noterez que j’ai écrit ces Iles avec un « C » et non un « S » !), il s’expose à voir une « porte de sortie » se refermer en cas de futur problème politique à Madagascar !.
    Je le vois mal, quelques soient ses accointances auprès du Kremlin, demander un asile politique à la Russie en cas de besoin.

    @ Jipo (post de 12:50)

    Votre comparaison avec la junte birmane n’est peut-être pas très éloignée de la vérité !.
    Il suffit de regarder en direction du Mali, du Burkina ou du Niger, pour craindre la même chose à Madagascar !.
    Si les forces armées de ces différents pays peuvent (je dit bien peuvent !) avoir une « justification » liée à leur implantation géographique (et politique !), on peut toujours se « questionner » sur l’utilité des « forces armées » malgaches !.

    Forces Armées pour défendre un pays et la totalité de ses habitants menacés ou Forces Armées pour défendre une minorité de politi-chiens ?!.

    P.S. Les « petites mains » ne sont pas obligées de répondre à la question ci-dessus. Je connais déjà leur point de vue limité par leurs « œillères » .

    • 26 octobre 2022 à 15:21 | Albatros (#234) répond à Albatros

      En revanche les « petites mains » peuvent toujours « illuminer » mon cerveau d’andafy en répondant aux questions concernant le Colisée du Rova et à l’avion de Richard Randriamandranto !.
      Cela me permettra de pouvoir comparer avec ........ d’autres pays !.

    • 26 octobre 2022 à 16:56 | Jipo (#4988) répond à Albatros

      Bonsoir .
      J’ ai vécu l’ époque ratsy iraka mais là même si comparaison n’ est pas raison, je trouve une similitude inquiétante, de plus cet arriviste en plus de son inexpérience : en a l’ âge !
      S ‘il n’ est pas dégagé rapidement, je crains que les Malgaches n’ aient à payer ses bavures, lubies, & frasques encore quelques générations .
      On en achève une que l’ on en sème encore pour 2 ou 3 , à chaque élection, ce n’ est plus de la scoumoune, c’est de la malédiction, va falloir faire venir un sorcier et de grâce cessez de sacrifier ces pauvres zébus qui sont comme quasiment tout le reste ; en voie de disparition.
      Par contre sacrifier votre indolence et fierté déplacée serait déjà un premier pas vers l’ émancipation !
      Vous enlever le doigt de là ou ça refoule et regarder les problèmes en face au lieu des mouches bleues qui tournent autour ...

  • 26 octobre 2022 à 18:01 | reviv (#9830)

    Bien inspiré jipo,
    le compte à rebours est lancé.

  • 27 octobre 2022 à 15:55 | Kobbe (#11248)

    STRICT RESPECT AU CONCEPT ’’LA BONNE PERSONNE AU BON ENDROIT’’
    Le concept de ’’la bonne personne au bon endroit’’ est vrai et significatif. Ayant cette preuve d’evidence à l’esprit, de la défense aux affaires étrangères on se demande si l’actuel ministre convient bien à ce bureau ministériel sensible. Le ministre sortant a également été parachuté, partant du département des finances.

    De bonnes compétences en relations diplomatiques et internationales, ainsi que des capacités linguistiques et de communication sont nécessaires pour occuper le poste de ministre des Affaires étrangères.

    Les évictions et changements ministériels qui s’enchaînent fragilisent la présidence Rajoel et le pays.
    Il ne fait aucun doute qu’entouré d’une bonne équipe, tout dirigeant apporterait un grand changement socio-économique dans son pays.

    • 30 octobre 2022 à 22:50 | Albatros (#234) répond à Kobbe

      Bonsoir Kobbe.

      Effectivement nommé un militaire au poste de Ministre des Affaires Étrangères est une manière ..... « étrange ».... de voir les « relations diplomatiques » !.

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