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Alors que le président de la République Marc Ravalomanana met les points sur les « i » sur certaines informations véhiculées dans le pays et interpelle la communauté internationale sur le non respect de certains points des résolutions prises à Addis-Abeba le 30 avril 2009, Monja Roindefo, Premier ministre désigné par le président de la Haute Autorité de Transition (HAT), Andry Rajoelina, démontre que les investisseurs internationaux commencent à faire confiance à la HAT ; la preuve en serait cette convention de financement signée le 6 mai avec le président de l’Union des investisseurs d’Arabie Saoudite à Mahazoarivo.
Dans une lettre officielle diffusée depuis l’Afrique du Sud en date du 5 mai, Marc Ravalomanana dément les informations selon lesquelles, il aurait demandé asile en Afrique du Sud. Il n’a jamais été question qu’il s’exile, a-t-il déclaré. Il se défend aussi d’avoir détourné à son profit les deniers publics ou volé les fonds alloués au pays par les bailleurs de fonds.
Le président Marc Ravalomanana apostrophe le Groupe international de contact sur Madagascar car un pays est en train d’encourager le pouvoir putschiste en place à Madagascar en signant des accords et donc à le reconnaître implicitement. En tout cas, c’est ce que laisse croire Monja Roindefo, le signataire de la convention au nom de la HAT avec l’Arabie saoudite. « Ce n’est pas un accord de financement parallèle car toutes les normes et règles internationales en matière de finances et de prêts ont été respectées, notamment la convention de Washington sur la traçabilité et la provenance des fonds, ont été scrupuleusement observées », affirme Monja Roindefo. Et il ajoute que « ce n’est pas nouveau car le Koweit et l’Arabie saoudite ont déjà été nos partenaires depuis toujours. Le Koweit est un des bailleurs de fonds dans la réhabilitation de la route nationale 6 (Antananarivo – Antsiranana) », dit-il.
Recueilli par Bill
Vos commentaires
Foutaise.C’est pas leur affaire.Est-ce qu’on se préoccupe de ce que fait Nicolas avec Carla ou Sylvio avec un Mineur.C’est qu’a fait Bill avec Monica ni Georges avec son chien n’a pas été mis au principe directeur du MAP(au vieux MAP : mort et enterré).Il y a plus de 7 millions de pauvre en France (INSEE) et plus de 12 millions de tarlouze au USA (MOVIE) alors médecin guerris toi toi-même !Hypocrite et aveugle.Un temps nouveau à Mada, un temps nouveau.Le peuple est dans la joie.Les Royalistes pleurent la fuite de leur Roi.Le Roi s’est enfui !A MORT LE ROI !
Ranavalona I était mieux cotée sur le plan international que la HAT.
Ce n’est pas avec un Monja Roindefo bon dernier avec 21 vois en 2006 que la HAT fera mieux (http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lection_pr%C3%A9sidentielle_malgache_de_2006).
Alain Ramaroson fanfaronne car c’est la dernière fois qu’il aura un poste, les élections ne sont pas son fort.
Ny fanjakana tsy voafidin’ny Malagasy, na, dia ekena itantana ny tetezamita aza, dia tsy tokony hanana zo hanao sonia fifanarahana @ alalan’ny vahoaka sy ny firenena.Betsaka loatra ny zava-tsarobidy eto M/car, koa aoka tsy izay nilaza fa voafidin’ny vahoaka 40 000 isa raha be indrindra(teo @ 13 mai)(nefa ny gasy 20 millions)no hanao fifanarahana @ arabo @ fananam-pireneko.Alefaso haingana ny fifidianana raha te hanao izany.Mahazo dia efa manao « propagande » dieny izao @ fitetezam-paritra fa tsy maninona.Tsy ho vita gadraina sy vonoina daholo akory ny olona hahavita azy.
Quelle comunaute internationale ? ils sont en pleine desacord, si le SADC veut envahir et remettre le demissionaire a sa place, alors que l
UA et lONU veut une election anticipe et que finalement cest lONU et lUA ont prevalu et ramene le SADC a la raison, sinon au debut le SADC, cest pas la volonte ou les moyens qui leur manque, la BM et le FMI, lUE ont aussi leurs opinion,esi le groupe de contacts ou bailleurs narrivent pas a sentendre, pourqoui obliger un tel pays a ne pas reconnaitre? donc arretez vos betises, car chaque pays a sa modele de democratie, pour la lybie et les arabes, qui norganisent pas delections ce HAT est parfaitement legitime. Quand la CI est dune seule voix et un seul systeme (election), on appelle ca la colonisation ! imposre le seul modele a l`IRAK, Lybie,...les arabes aussi !donc arretez vos betises, chaque pays ou organisation est libre de travailler ou non avec HAT !Les sempiternels blablabla de cette Horde des Assassins et des Truands n’endorment que les disciples de Morphée. Diffusez plutôt les accords secrets conclus avec ces pays (Arabie saoudite et Koweit) afin que la démocratie que vous invoquiez du bout des lèvres, il y a quelques mois, ne soit pas galvaudée depuis que vous avez la puissance des armes.
Ce ne sont pas les milliards d’ariary prélmevés arbitrairement à la CNaPS et à la JIRAMA qui vont vous sauver de votre faillite annoncée !
Sitraka,
JIRAMA sy CNAPS aloa dia asa hoe aiza indray no haka vola fa ilay Benja Razafimahaleo mantsy milaza fa mbola ampy hakaramana herintaona ny vola ao. ahahahah ihihihihi !!!
Mpandainga !!! Mahamenatra !!!
J’aurai voulu demander à M. Basile de leur transmettre le message suivant :
Courage TGV, rendez votre tablier !!!
Pour tous ceux qui ont râté les échanges d’hier, voici un article intéressant et qui date du 26/02/09....
Bonne lecture à tous, surtout à Basile, DixDingue, SlashDOG, Haritiana, meloky etc..... Prenez en de la graine....
Main basse sur les terres agricoles du Sud
jeudi 26 février 2009 par Guy Debailleul
Des États riches et des entreprises multinationales achètent ou louent à très long terme des superficies considérables de terres agricoles dans les pays en voie de développement. Portrait d’une véritable ruée, exacerbée par la crise alimentaire, qui a un fort relent de colonialisme et dont les conséquences pourraient être désastreuses.
L’Arabie Saoudite a pris le contrôle d’environ 1,6 million d’hectares de terres en Indonésie, soit à peu près les trois quarts des terres cultivées au Québec”‰ ! Et conjointement avec les Émirats arabes unis, l’Arabie Saoudite s’est appropriée 1,4 million d’hectares dans des pays comme le Pakistan ou le Soudan. La Turquie, le Kazakhstan, le Cambodge, les Philippines, l’Ouganda sont également visés par les pays du Golfe Persique. Il s’agit là aussi d’assurer l’approvisionnement en céréales des pays investisseurs dans lesquels la rareté de l’eau limite la production agricole.
En Tanzanie, en moins d’un an, des compagnies internationales de production de biocarburants ont accaparé 11”ˆmillions d’hectares, soit pratiquement le huitième de la superficie du pays pour cultiver des plantes destinées à produire des biocarburants pour l’exportation. L’une d’entre elles, Sunbiofuels de Grande-Bretagne, a par exemple mis la main sur 40 000 ha pour produire du jatropha à des fins énergétiques, après avoir évincé les agriculteurs, qui ont reçu une maigre compensation. Comme le signale le Financial Times, qui rapportait l’événement, il sera très difficile pour le gouvernement tanzanien de récupérer ces terres afin d’y produire des aliments, puisque la concession est d’une durée de 99 ans.
À Madagascar, la compagnie sud-coréenne Daewoo avait négocié avec le gouvernement malgache la location pour 99 ans de près d’un million et demi d’hectares. Son projet était de cultiver du maïs, avec comme objectif une production annuelle de 5,5 millions de tonnes en 2023 destinées à être exportées en Corée du Sud. Ce pays asiatique importe actuellement 11 millions de tonnes de maïs par année, principalement des États-Unis. À cela, s’ajoutait la production d’huile de palme. Pour mener à bien son projet, Daewoo entendait faire venir de la main-d’œuvre principalement sud-africaine. La colère suscitée par les révélations entourant l’entente entre la compagnie et le gouvernement malgache, et par l’attitude arrogante dont la compagnie a fait preuve dans la justification de sa démarche, a eu raison du projet.
Ces exemples ne représentent qu’un petit échantillon dans une multiplication de transactions du même genre par des pays « accapareurs » (directement ou par le biais de certaines de leurs compagnies ou sociétés de placement). Ce sont aussi bien des pays européens (Grande-Bretagne, Suède), asiatiques (Chine, Corée du Sud, Japon dont les entreprises contrôlent déjà plus de 12 millions d’hectares à l’étranger), pétroliers (pays du Golfe Persique, Libye, etc.) que des compagnies de pays émergents (Brésil, Inde). Les pays cibles sont également répartis sur à peu près tous les continents : Amérique latine (Paraguay, Argentine), Asie (Birmanie, Cambodge, Laos, Indonésie, Philippines, Thaïlande, Vietnam), Europe centrale (Ukraine), Afrique (Sénégal, Mali, Malawi, Ouganda, Soudan, Tanzanie).
Ces listes non exhaustives ne font qu’illustrer un mouvement qui prend une ampleur préoccupante. Les pays et les compagnies qui investissent ainsi dans le contrôle de grandes superficies de terre agricole sont guidés par des raisons qui peuvent varier : s’assurer un approvisionnement en produits alimentaires pour les uns, accroître la production de biocarburants pour les autres ou simplement, en ces temps de débâcle financière, investir dans ce qui apparaît comme étant le meilleur véhicule de placement à long terme pour des fonds spéculatifs. Ces raisons relèvent toutes d’un même constat : la crise alimentaire et la crise énergétique ont mis en évidence le caractère limité des disponibilités en terres agricoles pour satisfaire à la fois les besoins énergétiques et les besoins alimentaires d’une population mondiale croissante et confrontée à l’épuisement des énergies fossiles. Il est ironique que les mêmes pays qui ont tenté de libéraliser le commerce des produits agricoles au cours de la ronde de Doha, en invoquant les vertus du libre-échange pour assurer les besoins de la planète, semblent soudain accorder une confiance limitée à une telle stratégie puisqu’ils optent pour le contrôle direct de la terre et des ressources productives.
Un nouveau colonialisme
Presque 50 ans après les grands mouvements de décolonisation, les terres agricoles des pays en développement sont donc en train de devenir l’objet d’une nouvelle prise de contrôle par des intérêts étrangers. C’est d’ailleurs au nom du rejet d’un néocolonialisme que le projet sud-coréen à Madagascar vient d’avorter. Mais ce recul, s’il montre qu’une mobilisation peut entraver l’aboutissement de tels projets, n’est encore qu’une exception dans un mouvement qui prend de l’ampleur.
Si le patrimoine agricole des pays en développement suscite tant de convoitise et donne lieu à de telles concessions, c’est naturellement en raison de la dépendance de ces pays à l’égard des investissements étrangers. Il est facile de faire miroiter aux agriculteurs locaux les retombées économiques et les avantages, notamment en matière de diffusion de nouvelles pratiques et technologies agricoles. D’autant plus que de nombreux pays n’ont toujours pas adopté de régimes fonciers qui assurent des titres de propriété aux paysans en place. Beaucoup d’entre eux n’ont encore accès à la terre que par le biais de droits coutumiers complexes et souvent arbitraires. Dans d’autres pays, c’est plutôt le contrôle de la plus grande partie des terres par une toute petite minorité qui empêche les paysans de disposer de quantités suffisantes de terres pour leur permettre d’en vivre. Ainsi au Paraguay, plus de 75 % des terres agricoles sont la propriété de moins de 1 % de la population. Dans de telles situations d’inégalité ou d’insécurité foncière, il est donc plus facile d’écarter les paysans au profit de grands projets.
Les pays du Nord, eux, se protègent
La plupart des pays occidentaux ont au contraire eu tendance depuis déjà plusieurs décennies à adopter des législations plus ou moins restrictives en matière d’achat de terres agricoles par des étrangers. Aux États-Unis pas moins de 28 États ont des législations qui limitent les possibilités d’acquisitions de terres par des non-résidents. Il en est de même pour une majorité des provinces au Canada. Au Manitoba ou en Saskatchewan, un non-résident ou une compagnie étrangère ne peut posséder plus de 20 hectares de terres agricoles. On trouve des restrictions du même type en Australie, en Nouvelle-Zélande et dans certains États européens. Plus les terres agricoles sont vastes et la densité de population faible, plus les besoins de protection sont manifestes, ce qui explique que des provinces comme l’Ontario ou le Québec, à forte densité de population, ne se sont pas senties autant menacées par l’achat de terres par des étrangers.
Ce mouvement d’accaparement des terres agricoles par des intérêts étrangers, qu’ils proviennent des pays occidentaux, des pays du Golfe ou des pays émergents a incontestablement des allures de nécolonialisme. Au moment où - à la faveur de la crise alimentaire - la communauté internationale réalise enfin que l’on a trop longtemps négligé l’agriculture des pays en développement, cette confiscation d’une partie de leur patrimoine foncier pour satisfaire en priorité les besoins des pays les plus riches envoie décidément un signal contradictoire avec les efforts de concertation et de mobilisation pour redonner un nouvel élan à l’agriculture des pays pauvres.
Dans les récentes négociations commerciales de la ronde de Doha, de nombreux pays en développement ont commencé à opposer le principe de souveraineté alimentaire à celui de libéralisation des échanges. Ils revendiquent ainsi le droit de définir et de mettre en place les politiques agricoles qui leur semblent appropriées, et de prendre les mesures nécessaires pour protéger leur agriculture. C’est à ces conditions que leur propre sécurité alimentaire sera possible. Devant ce mouvement de ruée vers leurs terres agricoles, on observe que la souveraineté alimentaire implique de se donner les moyens pour contrôler la ressource fondamentale dont dépend la satisfaction des besoins alimentaires, c’est-à-dire les terres agricoles. Ce contrôle sera d’autant plus efficace que les paysans pourront disposer de droits garantis et stables sur cette ressource.
affirme Monja Roindefo. Et il ajoute que « ce n’est pas nouveau car le Koweit et l’Arabie saoudite ont déjà été nos partenaires depuis toujours. Le Koweit est un des bailleurs de fonds dans la réhabilitation de la route nationale 6 (Antananarivo – Antsiranana) »,
s’ils ont fait une route !!!tout leur est permis !!!y compris louer des centaines d’hectares à Mada !!!
ça ne vous rappelle rien ?????
M Roindefo, vous faites exactement ce que vous reprochiez à vos prédecesseurs...quand allez vous TOUS penser au bien être des Malgaches....
Lachez du leste....libérez les prisonniers, acceptez les resolutions internationales...
Un bon compromis vaut toujours mieux qu’un entêtement permanant...
Autre question....il est ou Andry ?????
C’est vrai que Mr Rajeolina est beaucoup moins visible qu’en janvier.
Les temps changent !!!.
Peut être qu’il attend de connaître le nom de celui qui voudra le remplacer comme Vizir pour se manifester et demander à la CI de l’aider pour maintenir sa « légitimité » !!!.
y en a marre de la CI et de Ravalomanana le peuple malgache en a assez de tous ces discours,on veut du concret alors bougez vous Andry et sbires que ca soit avec les Arabes ou iraniens du moment qu’on mange C BON
Bonjour !Tribune de madagasikara ve natory sa tena jamba no sady marenina ka tsy mahafantatra oe R8 efa tsy president MADAGASIKARA ntsony !!!!!!!!Nareo ve tsy menatra no mbola miantso azy hoe president nefa izy nitsoaka nandositra ny fireneny sy ny vahoakany.Zany no antsoina hoe PRESIDENT aminy ?Olona efa nanao demande d asile politika any afrique du sud R8 ka mbola hoe president.Milaza R8 fa tsy marina zany demande d asile politika zany,olona efa zatra mandainga dia mandainga foana hatramin ny farany.Menatra anga ra miaky fa marina izany !Ra tsy marina izany ,maninona kay ra mody aty an tanindrazana dia miara mitolona amin ireo vahoaka manao maritira ho azy sy tsaraina amin ny accusation momba azy zay lazainy koa fa tsy marina daolo.Ra tsisy atahorany sy tia an i MADAGASIKARA marina R8 dia mody aty MADAGASIKARA satria aty no ilain ireo vahoaka mitolona ho azy satria heverin ireo vahoaka ireo fa izy no hampandroso an i madagasikara zay nampahantrainy nandritra ny 7 taona nitondrany.
Lalaina,
Efa oe aza misendotra fa sao tapka oazy eo ze tsy ho tapaka !
Ny an’ny olona ny saina no miasa fa ny anareo tsy fantatra, ny olona manara-dalàna toy ny Tribune, UA, UE, USA ............no manaiky fa mbola président Ravalomanana Marc n’in’in lazainao , na faly enao na tezitra izay tompoko no marina.
Rehefa tsy faly enao de afaka manao izay tianao hatao, de toute façon nareo koa anie le tsy te hanara-dalàna fa te hanao lohana Jiolahim-boto e ! enao zao raha azoko tsra tsy nanameloka le fandrobana nahatsiravina be reny.....sa ahona ?
Bon week end quand même e !
fa ry lalaina koa ve dondrona e ?n’aiza n’aiza enao na efa maty enao rehefa oe president no asanao dia msoratra @nao mandrakizay zany fa tsy oe DJ za taloha d ho adinon’ny olona zany !mba ampitomboy oa io fahalalana io fa tsy faly mampiasa zay kely ao an-tsaina ao fotsiny !
Pour ton ami, f angaha ny vahoaka malagasy tsy mahazo manao ny safidiny fa izay tenenin ireo vahiny na amerikana na ue na sns dia tsy maintsy arahina.Zay le tsy mampisy ny demokrasia eto madagasikara ary ny malagasy miaina any amin ny firenena manaja ny demokrasia aza tsy manaja ary tsy mahafantatra ny atao hoe demokrasia satria io olona antsoinareo president io sao dia hadinonareo fa olona efa nametra pialana.Na tinareo na tsy tinareo ry ton ami dia efa nametra pialana R8 efa tsy president ntsony ary tsy azonareo lavina zany.Ianao milaza fa zay tsy te hanara dalana,satria aminao ra tena malala tsaina ianao azafady nadritra ny 7 taona R8 nanara dalana ?Aza ny haine no entina reagir fa ny saina no mba ampiasaina tompoko ary ny maso natao hijerena.R8 nangalatra ny vahoaka malagasy sy nampitombo ny harenany ary nampahantrainy ny firenena malagasy sy ny vahoaka nandritra ny 7 taona sy namidiny amin ny vahiny ny tany sasan tsasany eto madagasikara ary nakaiza ny vola ?any am paosin iza ? mbola tsy vitan izany fa nampikarama olona avy any ivelany hamono ny malagasy ray tanindrazana amiko sy ianao izy.Ka iza no jilahimboto amin izany ?Aminareo zany ny fitondrana amin izao fotoana izao dia tsy tokony hamerina ny filaminana eto madagasikara fa tokony avela lasa baranahany ny firenen tsika ?Miezaka ny hamerina ny filaminana ny fitondrana amin izao fotoan izao dia an tsoinareo hoe jilahimboto ka raha avelany ho baranahany i madagasikara dia inona no hiantsoanareo azy ?Manontany ahy inao hoe za zany tsy manameloka reny fandrombana be ireny !Manameloka an ireny mihintsy aho fa izao alefaso lavitra ny saina ,ohatra tamin ny nadromban ny gasy ny MAGRO,OLONA HANDROMBA NO ANTAON DRY ZAREO ARY MBOLA TSY TAFAVOAKA NY MAGAZAY AKORY NY SASANY DIA NY SASANY EFA NADREHATRA NY MAGAZAY. ,ra ianao zao ve no mandromba zavatra azafady mbola tsy tafavoakan ilay toerana na magazay robainao ianao dia arehatrao sahady ilay izy.Handromba ianao sa hamono tena.Amiko ny dikany nisy ny nandroba ary nisy ny voakaraman i R8 HANDREHATRA NY MAGAZAY SATRIA TSY TIANY HO TAFAVERINA AMIN NY VAHOAKA MALAGASY IREO ZAVATRA NANGALARINY TAMIN I GASY.Ary esory ao antsainareo fa tsy i TGV no naniraka ireo olna ireo handroba an i MAGRO sy ireo magazay sasany fa fandavan tena avy amin ireo zay nanao an ireny zany.Mba fantatrao ny antony nahatonga an ireny ?Efa nahantra sy nijaly ny vahoaka MALAGASY ary mbola NAMPAHANTRAIN I R8 ary NOANA SY MIJALY re tompoko !!!!!!!!!!!Tsy ny malagasy manan karena no nanao an ireny fa ireo vahoaka malagasy MAHANTRA sy MIJALY,ra mba notsinjovin i R8 sy tsy nampahantrainy ny vahoaka malagasy dia tsy nisy ireny ary izy mbola tavela teo amin ny toerany hatramin izao.Asa na fantatrao izany atao hoe fahantrana izany sy efa nandalovanao zany hanoanana izany !???Na TGV na tsy TGV mila fiovana ny firenena malagasy,fa tsy mila an dR8 intsony fa ampy izay ry ton ami !!!!!Nareo no tia azy dia manaja ny safidinareo izahay tompoko ka mba hajao ihany koa ny safidiny sasany.Bonne week end a vous meme !!!!!!!!!LALAINA.
Liantsoa !Za ve no dondrona sa ianao no tena vendrana ka tsy mahafantatra intsony ny atsimo sy avaratra.Inona kay no atao hoe president sy ny atao hoe ancien president ?Maninona kay ny mpitondra firenena no tsy antsoina hoe ancien president ry Liantsoa intelligent ?Za aloa tsy d accord aminao satria amiko ny president rehefa nametra pialana na tsy lany intsony na maty izy na velona dia tsy president no iantsoana azy fa ancien president na oe filoha taloha amin ny teny gasy.Tsy mitovy ny valeur hanan i olona atao hoe president sy ancien president.Mais maintenant,ianao manana ny zohanao miantso an dr8 hoe president ra izay no mahaly ny fonao dia tohizo,na dia hoe efa nametra pialana tsy ho president n i MADAGASIKARA ntsony R8.LALAINA
Liantsoa malala tsaina !Saika hadinoko,mba jereo ange azafady amin ny site internet(http://www.laverite.mg) ny vaovao lazain ny LA VERITE DE MADAGASIKARA ny 08 mai 2009 dia vakio lay article momban ny DIASPORA MALGACHE FACE A LA SITUATION DE L IGNORANCE A LA MAUVAISE FOIS.Dia avereno apetraho aminao tompon ny tenanao lay teninao hoe dondrona ve ary mba ampitomboy oa io fahalalana io
fa tsy faly mampiasa zay kely ao an tsaina fotsiny.OK !!!!!!!!!!!Avant de parler il faut tourner sa langue 7 fois ry Liantsoa malala Zany rehefa miseho azy ho mahay rah !!!!!!!!!
fa ry liantsoa ko ve tsis saina e...manao lohan’akoho.na maty enao na nilefa enao rehefa prezident de misoratra mandrakizay koa ary ts hadinon’ny olona ny naha bezinga azy.ary koa i messieur satanic.mba ampiasao le saina e...hahahahaha
raha zaho zao no mandinika de io liantsoa io no tena manao raisonment mivilagna,fanatik be fahatany.na efa olona satanic zao de mbola oye oye e...sa hanaraka azy any @ afobe....Odoy e....
concernant :« où est Andry »
réponse : il a une diarrhée permanente et cherche à quitter Madagascar pour rejoindre son PAYS : la france.