À l’approche de la saison des pluies, l’Union européenne a décidé de débloquer une tranche de financement de première urgence afin de préserver le patrimoine routier dans la partie Sud Est de l’île. Le démarrage de cette tranche, lancée avec clause suspensive, est prévu en décembre 2010, pour une durée totale de 8 mois.
Cette tranche fait partie de la somme totale de 5,4 millons d’euros que l’Union européenne a décidé d’allouer pour faire face aux dégâts provoqués par le cyclone Hubert en Mars 2010. Deux tiers de ce montant seront consacrés aux routes et un tiers à la ligne de chemin de fer Fianarantsoa-Côte Est (FCE).
Tentant d’éviter toute ambiguïté politique, l’Union européenne précise que cette mesure s’inscrit dans le cadre des décisions arrêtées en juin dernier par le Conseil de l’Union européenne à l’issue des dernières consultations de Madagascar au titre des accords de Cotonou. Ces mesures précisaient notamment que l’aide d’urgence n’était pas affectée par la situation politique de Madagascar.
Recueilli par Yann
Vos commentaires
le YOYO de l’Union Européenne.
des actions et non des intentions avec des « CHANTAGES » à l’infini.
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com
Monsieur Basile,
Ne trouvez vous pas que 5,4 millions d’euros, donnés par l’Union Européenne, c’est tout de même un bon gros YOYO !
Pelagogo,
C’est le geste, l’initiative traduisant un debut changement de position de l’UE qui sont très significatifs mais non pas le montant ry Pelakagogo a !
Bien qu’en France depuis 45 ans, vous avez une réaction bien malagasy.
Quoique l’on fasse pour Madagascar, c’est jamais bien ou c’"est jamais assez.
La CI va bientot faire profiter Madagascar su système EPM.
Et EN PLUS,
Le role hyper_strategique en terme d’effets multiplicateurs du FCE,objet du financement, dans l’economie locale et nationale n’est plus à presenter,
notamment en ce qui concerne le tourisme ,l’agribusiness à la base,( donc )la preservation de la biodiversité ,le transport et la resurection du port de Manakara , la commercialisation ( entre autres )du litchi
Le pelagogo ne connaissant pas du tout son Pays, il n’est pas le seul, ne mise que sur les chiffres et ne comprend rien en terme de strategie à effets hirizontaux.