Selon le général Richard Ravalomanana, il y eut ce mardi 17 janvier à Ambohijatovo, attroupement et tentative de marcher sur la place du 13 mai, provoquant dés lors l’intervention des forces de l’ordre aux fins de dispersion. Ce fut lorsque le Pr. Zafy avait remercié ses sympathisants que des voix se sont élevées pour demander ou pour ordonner une descente sur la place du 13 mai, selon le général Ravalomanana qui avait alors remarqué un mouvement de foule dans ce sens, obligeant les forces de l’ordre à intervenir. Il a suffi de quelques jets de grenade lacrymogène pour maîtriser la situation et rétablir l’ordre public.
Recueilli par Valis
Ra Bens (Photos)
Vos commentaires
Tena tsy zanatany marina ve isika ?
Jereo ilay fiara
Que dit le droit en fin de compte ?
Que tout attroupement est interdit ?
Qu’on m’éclaire là dessus, car d’après mon petit vécu de citoyen, seul quand le pays est en état de siège ou autre équivalent qu’une telle loi peut faire foi.
Dés lors, effectivement, quand c’est interdit : il faut demander la levée temporaire d’interdiction. Si pas autorisation, alors c’est l’interdit qui l’emporte.
Si pour des raisons de sécurité : la procédure devrait être autre. On ne demande pas l’autorisation, mais on demande l’assistance des forces de l’ordre pour que... en cas de ...
Comme je ne suis pas un expert en la matière : que dit le droit sur « la place de la démocratie » ?
Qu’il est interdit de prendre la parole dedans ?
Car question du genre : tout ce qui n’est pas interdit n’est-il pas permis ? Je me la pose...
Ou as-tu-ete cher Boriky-Lahy général Richard en December 2008 au Mars 2009 ? il y eut ce 17 janvier 2009 à Ambohijatovo un attroupement et une marcher sur la place du 13 mai, provoquant dés lors un coup d’etat. Tu as beneficier de ce coup d’etat car maintenant tu es un « jeneraly foza ». Pourquoi n’as tu pas fait une intervention des forces de l’ordre aux fins de dispersion au 17 janvier 2009 mon cher Biriky-Lahy "jeneraly foza’ ?
ka ny foza ange mihinam-potaka e.
Il faudrait suite aux élections, enquêter sur ces officiers de l’armée et de la police et si nécessaire, les traiter devant la justice pour nettoyer les mauvaises graines. Si on ne fait pas cela, ce sera la continuité de tout ce qui est néfaste pour ce pays.
Pour redémarrer, il faudra abandonner volontairement ce qui a envoûté notre mentalité les 40 dernières années.