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Socio-politique

Programme de la Présidence de la Transition

Fianarantsoa a son « hôpital manarapenitra »

lundi 24 juin 2013

Après Toamasina, Antsiranana et Toliary, ce fut au tour de Fianarantsoa de se voir inaugurer son « hôpital manarapenitra » ; Andry Rajoelina, président de la Transition y a fait le déplacement pour procéder ce samedi 22 juin à une série d’inauguration d’infrastructures dont cet établissement hospitalier aux normes internationales qu’il a fait construire pour que le peuple se souvienne un jour de lui et de ce que qu’il a entrepris. « Je vous autorise même de prendre mes prénoms pour vos progénitures qui verront le jour dans cet hôpital », a indiqué le président de la Transition tout fier, comme si les prénoms Andry ou Nirina étaient sa priorité.

En tout cas, entouré des ministres de la Communication, de la Santé, et des Finances et du Buget, Andry Rajoelina a, dès son arrivée à l’aéroport de Beravina, tout de suite procédé à l’inauguration des artères desservant le quartier d’Ankofafa, lequel constitue le quartier le plus peuplé de Fianarantsoa. « Le PDS m’a fait part de la nécessité de réhabiliter ces routes pour les habitants de ce quartier. Ma venue ici ce jour témoigne de ma détermination et de ma volonté d’agir pour mes compatriotes. Ce genre de problème d’infrastructures figure toujours parmi les promesses de ceux qui font des propagandes mais n’a jamais été honoré. Aujourd’hui, je vous prouve qu’il est possible de le résoudre sans attendre les campagnes électorales. Les travaux restants seront immédiatement repris. Par ailleurs, dès la semaine prochaine, mes collaborateurs, chargés des actions sociales de la Présidence, commenceront les travaux HIMO dans ce quartier d’Ankofafa pour vous donner aussi du travail », a déclaré le président de la Transition.

Un auditorium pour les étudiants

À l’université d’Andrainjato, le président de la Transition a coupé les rubans du nouveau bâtiment R+3 et de l’auditorium de cet université. Comme il a fait à Toliary, le président de la Transition a également offert des lits et des matelas pour le nouveau dortoir du bâtiment R+3. Ce bâtiment R+3 peut accueillir 403 étudiants. En marge de cette cérémonie d’inauguration des infrastructures universitaires, le président de la Transition a promis des machines à coudre, des ordinateurs et des fours électriques pour l’association des femmes, nouvellement créée dans cette université, laquelle s’apprend et apprend aux jeunes générations des formations professionnelles et artisanales.

Pose de premières pierres

Au stade d’Ampasambazaha, Andry Rajoelina a lancé officiellement les travaux de construction d’un stade aux normes internationales. Un nouveau défi qui s’inscrit dans le cadre des promesses présidentielles. Par ailleurs, lors de ce passage au stade d’Ampasambazaha, le président de la Transition a également promis un dojo pour le karaté-do de Fianarantsoa où les pratiquants peuvent s’entrainer, voire s’éduquer en matière d’arts martiaux.

Recueilli par Valis

10 commentaires

Vos commentaires

  • 24 juin 2013 à 09:09 | Rablue2 (#6225)

    Monsieur « autorise les parents d’utiliser son prénom pour leur progénitures » ...comme si « Andry » est son label privé !!! Alors là sans être méchant, je dirais que le mec a atteint un degré de folie très élevé !!!! ..... Le pays a eu des présidents mythomanes mais ce Phat dépassent ses prédécesseurs en délires et enfantillages ......

    • 24 juin 2013 à 09:19 | Rablue2 (#6225) répond à Rablue2

      Ils les dépassent surtout en mégalomanie et surtout en....... incompétence !!!!!

  • 24 juin 2013 à 10:01 | niry (#210)

    lol, voici pourquoi il s’accroche au pouvoir comme un morpion. Il ne veut pas que d’autres inaugurent SES hopitaux manarapenitra. Les seules réalisations à son actif.. Toliary, Fianarantsoa (faillis être inaugurés par le triumvirat..l’affront suprême !) c’est déjà ça de gagné !.

  • 24 juin 2013 à 10:05 | kakilay (#2022)

    Bien sûr que c’est le scoop du jour :
    il faut être né pt
    pour l’avoir trouvé.

    Et nous voyons déjà d’ici
    les relais pt,
    énervés sur leur clavier :
    clap ! clap ! clap !
    c’est un signe de démocratie,
    les dictateurs d’avant n’ont jamais eu l’idée
    de donner l’autorisation :
    D"Amour et de Générosité à la mode du pt.

    Et combien même
    nous avons eu raison de poser la question :
    Pourquoi doit-on demander à un p (pas forcément de transition)
    pour avoir un droit de visite à sa mère ?

    Et qu’en est-il du droit de cuissage ?

  • 24 juin 2013 à 10:06 | da fily (#2745)

    hi !

    ce mec est en propagande, vous l’aurez tous compris, viré ou non de la liste des 41, siégeant encore ou non à Ambohitsorohitra, le PT de service n’en peut plus de péter... plus haut que son kul, on a vu, mais là c’est la 4ème dimension, il lui faut des fils spirituels portant ses prénoms maintenant ! il doit avoir du sang koréen dans les veines ou il a lu le livre rouge de Kim Il Sung...

    de toutes façons comme il caresse l’armée dans le sens de sa fourrure, et que celle-ci lui tend sa bouche en coeur, on est en droit de ne s’attendre qu’à un seul coup de force pour déloger ce conglomérat de morpions...

    j’avais appelé « aux armes citoyens ! » comme une boutade, je sens que ça devrait être la vérité sous peu !

  • 24 juin 2013 à 10:47 | ravel (#4625)

    The protracted political crisis in Madagascar has taken a heavy toll on its economy and its people, especially the most vulnerable.
    More than 92 percent of the population lives under $2 a day and poverty has sharply increased.
    Only a sustainable end to the stalemate will enable the country to focus on fostering economic growth.

    Antananarivo, June 5, 2013_ Madagascar is a country with enormous potential. When it was not in crisis, Madagascar grew at an average 5 percent a year. But overall economic growth has been flat over the period 2009-13. Against a benchmark of 5 percent annual growth, GDP in 2013 would have been 20 percent above its current level. The gap between where the economy could have been and where it is suggests that the cumulative costs of the crisis now exceed US$8 billion.

    Since January 2009, Madagascar has been in the throes of a political crisis, generated by an unconstitutional change of government, following the nomination of Andry Rajoelina who was, at that time, the mayor of Antananarivo, the capital city, as head of state. This was rejected by the international community. The political crisis and the enormous uncertainty it created for private investment acted as a brake on economic growth. Four and half years into the political crisis, the effects on Madagascar’s economic and social outcomes have been very severe.

    The lost years of socio-economic development

    The economy has stalled, income per capita has fallen : With high population growth (2.9 percent), the population of Madagascar has increased by over 3 million people from 2008 to 2013. As a result of economic stagnation, income per capita in 2013 has fallen back to its 2001 level.
    Poverty has sharply increased : Preliminary estimates suggest that, from 2008 to 2013, the proportion of the population living under the poverty line (which was already high before the crisis), may have increased by more than 10 percentage points. With more than 92 percent of the population living under $2 a day, Madagascar is now one of the poorest countries in the world.
    Social outcomes have worsened : despite crisis-related aid, the number of out-of-school children has increased, possibly by more than 600,000. Acute child malnutrition remains critical, having increased in some areas by more than 50 percent. Numerous health care centers have closed, and poor parents have had to shoulder a heavy proportion of the cost of putting their children to school, due to a lack of government funding. These developments put the welfare of future generations at risk. At this point, Madagascar will not reach most of the UN Millennium Development Goals (MDG) by 2015, even the ones which in 2007 were deemed potentially achievable (e.g., reducing child mortality, increasing enrollment in primary education, and eradicating extreme poverty).
    Public finances are increasingly under stress : Sustaining macroeconomic stability has come under increasing pressure. Tax revenues are falling, tax evasion has increased, and the capacity to hold the line on overall spending is strained in the face of political pressures, strikes, and shocks .While macroeconomic policy remains prudent, the risk of transferring the mounting costs of cleaning up a weakened fiscal position to the next government is real.
    Foreign aid remains muted : Aid dropped sharply in 2009, and has remained subdued. Official aid over 2009-13 dropped by about 30 percent, with a larger share shifted to humanitarian programs, raising issues of sustainability.
    Infrastructure has deteriorated : In addition to damages from cyclones, severe budget cuts in investment and maintenance have resulted in increasingly deteriorated roads, power and water infrastructure, impairing the medium- and long-term development of the Malagasy economy.
    The ability to deal with exogenous shocks is severely curtailed : Current risks to the global economy, especially in Europe, make Madagascar’s economy even more vulnerable, given its dependency on exports and tourism. The country is also highly vulnerable to natural disasters (cyclones of 2008 and 2012).The political crisis is a major impediment to confronting and mitigating these shocks.
    The resilience of agriculture had helped avoid a food crisis so far, but new risks have emerged : The ongoing locust infestation threatens agricultural production and food security. The Food and Agriculture Organization (FAO) estimates that up to 60 percent of the rice crop is endangered. Here too, the political crisis acts as an impediment to mounting an appropriate response.
    Madagascar’s longstanding governance problems have only been exacerbated : the weakening rule of law, increasing insecurity, poor governance in natural resource exploitation (rosewood, gold, precious stones), limited progress on the anti-corruption front, and the lack of transparency in the management of public resources have only become more pressing.
    The resilience of the private sector is increasingly being tested : There has been little new investment, domestic or foreign, in the highly uncertain environment of the past few years. The lack of overall economic momentum, the mounting infrastructure problems, especially in roads and electricity, and the deteriorating governance environment are hurting the short-term prospects of the private sector and its long-term plans. No significant number of jobs has been created, or can be created, in this environment.
    Madagascar was already among the poorest countries in the world and the crisis has only made matters worse. The crisis is diverting attention from the crucial challenges the country needs to face and mortgaging the future of Malagasy citizens. From a strictly developmental point of view, a political resolution of the crisis is urgently needed. While the first round of presidential elections was scheduled for July 24, 2013, the elections have been

    • 24 juin 2013 à 11:32 | meloky (#637) répond à ravel

      Dada Ravel,

      Let us look at the issue seriously, if consider that such report you depend more than put Madagascar positively on track, Then I can say you are missled !!!!

      The so called « La banque Modiale » also is money making oracle, mind you ! So you want to serve them rather to build somethings in your own country ? Please be positive mind at least farafaha-alika matiny !
      Thanx for your info from « La Banque Mondiale » !!!!

  • 24 juin 2013 à 15:09 | KOUMAR97420 (#7444)

    juste pour dire,vous savez seul les gents qui ne fonts rien trouve toujours a dire ,chaque grande ville de Madagascar a maintenant leur propre hopital laisse le temps au temps et le peuple malgache et souverain et aussi seul Maitre de son destin , mettre en place des échanges avec la réunion et les iles de l océan indien la force tranquille de demain, j aime Madagascar LE Réuionnais A DU SANG MALGACHE QUI COULE dans ces veinnes laisse faire le temps , courage a Andry rajoelina ,au moin il a le courage de le faire ,

    • 25 juin 2013 à 09:53 | Niry78 (#7485) répond à KOUMAR97420

      Bonjour à tous,

      « Laisser le temps au temps »... Je pense sincèrement que les malgaches en ont plus qu’ assez... Tant que ces dirigeants sans scrupules agissent que pour leurs propres intérêts, le temps ne jouent qu’en leur faveur...

      Mais toutes bonnes choses ont une fin...

      Les malgaches souffrent depuis de décennies, mais ont toujours gardé le sourire...
      Dans les pays modernes et développés... c’est l’abondance, la surconsommation, l’obésité....les gens ont perdu le sourire, la Foi le sens de la famille... et le soleil !!!

  • 25 juin 2013 à 23:07 | jules (#2904)

    Tana n’est qu’une vaste poubelle geante, une décharche sauvage a ciel ouvert.Les malgaches une bande de voleurs,qui n’hésite pas voler aussi pauvres qu’eux. Aller Maurice, lorsque quelqu’un vous aborde c’est pour vous rendre service pas pour vous arnaquer. Peuple sans parole et sans morale, Lache au point de tout accepter,corruption,racket,crasse,misere,et j’en passe. Si ce n’était la famille ,je ne remettrais jamais les pieds dans un environnement aussi nauseabond. Faites bien les fiers en ce jour de fete nationale et surtout ne progresser pas pour bien crever la bouche onverte ,mais toujours sans rien dire

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