Décidément, on n’en finit pas avec le bois de rose. Quatre containers de ce bois, ainsi que cinq containers d’eucalyptus ont été découverts au port de Toamasina... C’est ce qu’annoncent ce dimanche les médias publics, en précisant que ces containers étaient prévus de partir pour la Malaisie.
Rappelons que toute coupe, vente, transport ou exportation des bois d’ébène et des bois de rose est aujourd’hui théoriquement interdite, mais que les suspicions restent très présentes en ce domaine. En tout cas, c’est la première fois qu’on voit ce trafic associé au commerce du bois d’eucalyptus, qui n’est pas considéré comme une essence précieuse, et qui dans le cas présent devait sans doute servir de couverture à cette exportation plus rentable.
Le Premier ministre Camille Vital et le ministre en charge du département des Douanes, Hery Rajaonarimampianina, sont descendus sur place pour procéder aux constatations.
Luc (stagiaire)
Vos commentaires
Encore,l’histoire de bois de rose !!!!!
Il faut réguler l’exploitation et autoriser l’exportation.Une source de devises pour la Nation.Tant qu’il y a de demandeurs sur le marché « MONDIAL »,il y aura d’exportation illicite.
IL FAUT UNE EXPLOTATION RAISONNEE !!!
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Les coupes de bois poursuivent trois grands objectifs :
1-la récolte,
2-l’amélioration de la forêt
Elles ont d’abord un rôle d’amélioration de la forêt :
Une seconde fonction des coupes est le renouvellement des arbres et la régénération de la forêt.
En troisième lieu,les coupes ont un rôle de récolte qui contribue aussi à satisfaire les besoins en bois qu’à engendrer des revenus ou autres avantages.
Les coupes et la vente de bois jouent un rôle autant écologique qu’économique.
La forêt,une source d’emplois.
Les emplois se répartissent en six catégories assez équilibrée :
La filière forêt-bois pourrait employer 2% de la population active.
De nouveaux types d’emplois liés à la forêt apparaissent.Il en va ainsi de services offerts par la forêt dans les loisirs ’activités sportives,tourisme,artisanat).
La forêt et le bois suscitent de nombreuses activités non rémunérées mais qui n’en sont pas moins économiquement importantes comme le bricolage qui s’appuie fortement sur la facilité de mise en oeuvre d’un matériau écologique,le bois.
IL FAUT AUTORISER L’EXPORTATION DU BOIS DE ROSE
Seule condition,une exploitation raisonnée.
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com
« Comme le bricolage » !!!!
Voila un domaine dans lequel la HAT excelle !!!!.
:-)
Y a quelque chose de tragicomique dans ce malheur :
Les fossoyeurs de l’environnement eux-même (ceux qui signent les autorisations de sortie) accourent pour constater en poussant leur cris d’orfraie, que le butin de leur larcin a été découvert.. Evidemment, c’est jamais le leur.. (Anjouan, Comores - Toamasina, Mcar, etc..même combat). J’imagine d’ici leur « c’est pas possible ! mais qui ose encore violer les lois ? Qui cherche encore à exporter ces containeurs ? »..Evidemment, c’est la fautes aux autres, évidemment, qu’ils vont sévir et sanctionner...ahah laissez moi rire.. Mbola tsy misy bedy aloha izao fa andramo andramo foana é..