Le Premier ministre, Christian Ntsay, s’est montré ferme hier concernant la tenue de l’élection présidentielle au mois de novembre. En marge du dialogue politique avec l’Union européenne au ministère des affaires étrangères à Anosy Anosy, le chef du gouvernement a déclaré que le calendrier électoral sera respecté. Une sorte de réponse aux politiciens qui doutent de la possibilité de la tenue de la présidentielle cette année.
Pour une frange de l’opposition, les conditions ne sont pas réunies pour la tenue présidentielle. Les couacs constatés au niveau de la liste électorale et les difficultés que rencontrent les candidats pour obtenir les documents nécessaires auprès de l’administration sont pointés du doigt. Le président de la Haute Cour Constitutionnelle (HCC), Florent Rakotoarisoa, lui même a invité l’administration a facilité les procédures.
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Vos commentaires
On ne l’entend jamais le voleur d’eau, mais quand il parle c’est pour ne rien dire.
République bananière !
Il est comique.
Il a même pas de sou pour ramasser les poubelles et les ordures qui puent devant les bureaux de vote.
Il nous fait rire.
Monsieur Ntsay tsay tsay é...
Ntsônalé...
Bonjour Sabrina !.
Puis-je me permettre ce mauvais "calembour" :
Au-dessus des ordures on peut voir voler des mouches "Ntsay-Ntsay" !.
Celles qui nous endorment !. 🤣
Désolé !. Parfois je craque !.
Pas trop mauvais, mais efficace👍🏼🤣
Face à une fronde des opposants à son maître, notre premier ministre, en service commandé, fronce les sourcils pour exiger que le déroulement de ces élections suivent son cours, très, très loin d’être un long fleuve tranquille !..
L’essentiel étant que les élections aient lieu puisque d’après lui, la victoire de son poulain ne fait aucun doute !..
Tout cela pour éviter que son maître démissionne pour concourir et que ces élections soient annulées ou reportées, en l’absence de candidats frondeurs !..
Il est évident que dans ce cas de figure improbable, le chaos politique sera à son comble avec un pays sans président, ou plutôt un démissionnaire, sans mandat ,qui voudrait assurer la direction des affaires et un marigot, vent debout !..
En fait, ce premier ministre, transparent, exige du « vite fait, bien fait », estimant, certainement, que cette élection ne sera qu’une simple formalité pour son patron, très exigeant !..
Dans son rôle d’aboyeur lorsque son maître est en danger, il ne fait que confirmer ce que nous savions depuis sa nomination : n’être que le bouffon de son « saigneur », et pis, c’est tout !..
"Christian Ntsay reste intransigeant sur le calendrier électoral"
Cela rassure que même après la démission du Président, la maintenue de l’ordre sera garantie face à l’intention de certains de foutre le chienlit.
Qu’il commence déjà par balayer devant sa porte
Et ramasser les ordures et poubelles devant les urnes...
Vous avez l’habitude de travailler et manger dans les poubelles mais le peuple en a marre !
la chienlit c ‘est vous et votre eunuque des bals poussières et je ne souhaite qu’ une chose : que vos compatriotes vous le fassent savoir et pas que par les urnes mais avec ce que vous méritez de grand coups de pompes dans le Q ! ( sans rajouter un B aux urnes bien que !) et votre tafiole en tête : sous vos larmes compatissantes et sournoise incompréhension ...
Assalaamo alaikoum
Un chef de l’administration qui roule pour un candidat doit prendre sa disponibilité comme tous les hauts fonctionnaires suivant la loi en vigueur n’est-ce-pas ? Dura lex sed lex. Le directeur de campagne du pasteur Mailhol de 2018 est mieux placé pour rappeler cette loi relative à la neutralité des hauts fonctionnaires voire de l’administration publique.
n’est-ce-pas Mr Paulo ?
Re-,
Momba n’y fandehan-dzavatra ho an’ i Rabitro Manjaka vendram-P* :
Fa atao ahoana ny dingana fahatelo, ry zalaha ?
Ny fomba sy fikafika beu azo ampiasaina mba tsy hametrahana fiàlana @ ny toerana mamy filoham-pirenena amperinasa ?