La facture de la Jirama, à la fin de ce mois. La flambée du prix du riz, actuellement. Mais ce qui étonne encore plus, ce serait le prix des légumes et autres denrées alimentaires. Les explications varient, mais tout converge quand même sur un seul point : c’est irréversible. Tant que cela !
Une vendeuse de pommes de terre affirme que, puisque les frais de transport ont augmenté, « il faut bien qu’on le fasse, nous aussi. « Pas plus loin, côté brèdes et autres légumes, » on sait que la Jirama va imposer sa facture sur la population. Autant commencer nous aussi dès maintenant. Pour qu’il n’y ait pas de mauvaise surprise ».
En tout cas, les petits locataires s’attendent déjà à ce que leur loyer montent en flèche. « Déjà, lorsque le président de la République avait annoncé la hausse du salaire des fonctionnaires, on a accusé une hausse de quelque 10%. Nos proprios ne s’en priveraient plus. Avec cela le quota « de l’électricité ».
À qui le tour ? Pourvu que les transporteurs n’en fassent pas à leur tête… Seuls les salariés du secteur privé ne peuvent faire autrement que subir et manœuvrer ou faire des gymnastiques trop souvent périlleuses vu la faiblesse de leur pouvoir d’achat.
