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Suite aux impacts sévères des cyclones Haruna et Felleng dans certaines régions de Madagascar, la Banque mondiale a décidé de financer à hauteur de 170 000 dollars les interventions du FID suivant la méthodologie « argent contre travail ». Cette somme a permis de commencer des chantiers d’assainissement et de nettoyage à Tuléar I, Morombe, Sakaraha et Miandrivazo. La priorisation des activités à effectuer est décidée par les communautés elles-mêmes, et les chantiers durent cinq heures par jour, pour une durée moyenne de 30 jours. D’ici la semaine prochaine, la mise en œuvre sera étendue à d’autres zones. « L’objectif est de permettre aux populations sinistrées d’avoir accès à des ressources financières immédiates. Ce sont souvent des gens vivant dans la pauvreté, et les cyclones ont accentué leur précarité. Le montant alloué à la réparation des dégâts pourrait éventuellement être augmenté une fois que le gouvernement aura approuvé les nouveaux projets multi sectoriels d’urgence » a expliqué Haleh Bridi, directrice des opérations de la Banque mondiale à Madagascar dans un communiqué de la Banque mondiale à Madagascar en date du 2 mars 2013.
Selon les statistiques les plus récentes, le dernier cyclone Haruna a causé 24 décès, 92 blessés, et affecté 21.000 personnes dont le quart est actuellement hébergé dans des camps. Une fois que le Bureau national de gestion des risques et catastrophes (BNGRC) ainsi que l’ensemble des partenaires techniques et financiers auront achevé la phase d’évaluation des besoins, la Banque mondiale étudiera comment apporter la contribution la plus efficace possible avec les moyens à sa disposition pour aider Madagascar à faire face aux défis de réhabilitation des infrastructures endommagées.
Recueilli par Bill
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6 millions le coliseum...... no coment
Les mots bien brassés, dans le language diplomatique :
Le peuple de Madagascar est allergique au travail.
170.000 us$ (374 millions ariary ou 1870 millions fmg) de la Banque mondiale !!!! . Il ne faut pas penser que la HAT a reçu une nouvelle aide de la BM. Car les fanatiques ne manqueront pas de crier alleluiah pour marquer la reconnaissance internationale du régime putchiste par la CI.
En réalité il ne s’agit pas d’un nouveau crédit de la BM (qui aurait nécessité des procédures longues inadaptées à la situation d’urgence dans le sud), mais tout simplement un changement d’affectation d’une partie du budget allouée à l’agence d’execution du FID (projet déjà existant depuis 20 ans à Mada dont les fonds sont réalimentés par un nouveau crédit au fur et à mesure de l’avancement des sous-projets).
La CI prend ses précautions et ne confie pas l’argent de l’aide au gouvernement ou à la HAT. Le FID est beaucoup plus controlable directement par les audits de la BM.