La filière communication du domaine Art, Lettres et Sciences Humaines à l’Université d’Antananarivo célèbre ses 10 ans d’existence. Anciennement appelée Département Interdisciplinaire de Formation Professionnelle, elle est connue actuellement sous le nom de mention COMMO ou Communication, Médiation, Médias et Organisation.
Plusieurs activités sont alors organisés depuis le mercredi 27 septembre à l’Université d’Antananarivo jusqu’au samedi 1 octobre : expositions photos ou Tafasary, des présentations de projets des étudiants, des rencontres entre étudiants, chercheurs et professionnels, des portes ouvertes. Tous les anciens de la filière, les sortants, les partenaires et les professionnels y sont invités. Il y a également une conférence-débat ou Diantana, ayant pour thème « quelles productions et quelles formations pour les dix ans à venir ». Elle se focalise sur l’évaluation du parcours, des projets et des activités réalisées durant les 10 ans passés, mettant en perspective les 10 prochaines années. La célébration se termine par le Soamiditra ou la cérémonie de réception des étudiants de 1ère année pour cette année universitaire, baptisant l’évènement.
Rappelons que la filière communication est issue du CERM ou Centre d’étude de Recherche en Malagasy. Un centre de recherche qui était à la disposition de tous les départements de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines en 1994. L’Unité de Formation en Journalisme est ensuite mise en place pour la professionnalisation du journalisme à Madagascar. C’est en 2006 que le département prend réellement le nom de DIFP ou Département Interdisciplinaire de Formation Professionnelle, voyant la participation des enseignants provenant de différents départements de la FLSH (Malagasy, Philosophie, Français, Histoire). La formation s’est alors élargie sur divers domaines depuis ses dix ans, notamment sur l’information, sur les médias et la communication à travers les organisations.
Vos commentaires
30 septembre 2016 à 19:34 | Gérard (#7761)
bon alors ! ça n’ intéresse personne ce truc
tout le monde braille (et moi aussi, de temps à autre) que les journalistes ne sont pas formés, qu’ils écrivent comme des cochons et dans un sabir « petit nègre » à peine digne d’un caporal de tirailleurs sénégalais
là, le vocabulaire parait sérieux, quid de la formation ?
en tout cas , ceux qui tentent de former de "vrais’ journalistes méritent nos encouragements !
et ceux probablement formés il a bien des lustres, qui nous peaufinent de petits bijoux tels que ceux que je vous propose ici en lien méritent remerciements et félicitations
http://www.lexpressmada.com/blog/opinions/question-de-fonds/
http://www.newsmada.com/2016/09/17/peregrinations-hebdomadaires-7/