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@ | Isambilo 30 août à 10:42
« Si j’ai bien compris, ce projet a profité de la période où le pouvoir n’avait pas d’existence légale »
Tsy misy azo iadian-kevitra izany ! ary tsy io « projet » io ihany fa maro dia maro araka ny tanisain’ilay lahatsoratra etsy ambany ! sarotra inoana fa mbola mety ho tafarina i Madagasikara raha tsy manao « tolom-piavotana » TENA IZY ny vahoaka malagasy tsy vaky volo.
Zahao : « Violations des droits humains à Madagascar », 11/11/2013.
http://www.cetim.ch/violations-des-droits-humains-%c3%a0-madagascar/
[...]
Répression au SUD de Madagascar
Le sud de Madagascar est constitué de cinq régions administratives :
Androy (476 000 hab – Chef lieu : Ambovombé),
Anosy (544 000 hab – Chef lieu : Taolagnaro),
Ihorombé (190 000 hab – Chef lieu : Ihosy),
Atsimo-Atsinanana (621 000 hab – Chef lieu : Farafangana) et
Atsimo-Andrefana (1 100 000 hab – Chef lieu : Toliara).
Depuis le mois de juin 2012, le sud de Madagascar, principalement la POPULATION des régions de l’Androy et de l’Anosy, est cible d’ATTAQUES RÉPÉTÉES PAR LES FORCES DE L’ORDRE ET DES MILICES ARMÉES. En effet, sous le prétexte officiel de lutter contre les « Dahalo », les forces de l’ordre mènent des opérations militaires avec l’utilisation d’armes lourdes (fusils d’assaut, lance-roquettes, etc.) et d’hélicoptères [...]
[...]
ZONES RICHES EN RESSOURCES NATURELLES
Les localités concernées par ces MASSACRES sont situées dans des zones dont le sous-sol est d’une RICHESSE EXCEPTIONNELLE, objet de convoitise pour tous les prédateurs. En effet, cette partie du pays possède un potentiel considérable. En plus de l’élevage de bovins, les ressources minérales sont importantes et variées : elles comprennent des MINERAIS INDUSTRIELS (URANIUM, MERCURE, TERRES RARES, MICA, CHARBON, ILMÉNITE), des pierres précieuses et semi-précieuses (SAPHIR, ÉMERAUDE, CRISTAL DE ROCHE …), de l’OR mais aussi du DIAMANT DE TRÈS HAUTE QUALITÉ. Le PÉTROLE est également présent dans le sous-sol de la région. Selon les TÉMOIGNAGES de certains NOTABLES locaux, il y a « une VOLONTÉ DE CERTAINS LOBBIES POLITIQUES ET ÉCONOMIQUES DE ‘DÉGAGER’ une bonne partie du Sud DE SA POPULATION afin de faciliter l’exploitation des terres et des richesses du sous-sol de cette partie de l’île »6 [cf « poussée du FÉDÉRALISME » !].
[...]
. On assiste donc à un DÉPLACEMENT FORCÉ DE POPULATIONS et à la CONFISCATION DES TERRES PAR LA FORCE. Les TERRES ainsi accaparées sont OCTROYÉES le plus souvent à des sociétés transnationales (STN) de l’EXPLOITATION MINIÈRE ou de l’AGRO-BUSINESS avec la complicité active des autorités nationales.
En effet, les dirigeants actuels de la transition ont MULTIPLIÉ LES CONTRATS DE CONCESSIONS FONCIÈRES ou avec des grandes STN et d’autres Etats, qui conduisent à l’accaparement des terres à grande échelle, ACTE QUI LEUR EST INTERDIT pourtant pendant la période de transition en vertu des engagements contenus dans la Feuille de Route que A. Rajoelina et son entourage ont signée.
[...]
(Hotohizana)