Gérard,
Pas plus tard que la veille, j’ai suivi une émission télévisée sur KOLO-TV m’informant que rien qu’ « un pour cent (1%) des dépenses sur les aides allouées au programme communautaire d’éradication » (vaccination) a été justifié.
En d’autres termes, l’Organisation mondiale de la Santé et ses partenaires réclameront, et selon la même source, au gouvernement malagasy le remboursement de la différence.
Donc, la question se pose à Monsieur le Professeur Lalatiana ANDRIAMANARIVO, ministre de la santé : Quel était le but de faire avaler à des innocents - qui n’ont même pas été médicalement consultés - des produits pharmaceutiques, qui nécessitent beaucoup d’attention après prescription médicale et entre le repas ; si ce n’était que pour contenir l’incendie cité un peu plus haut ?
Concernant le présent don, dont aucun pays au monde ne s’y était aventuré depuis la reconnaissance de mon pays comme étant une nation à part entière, je n’ai qu’une phrase à dire :
« Le don oblige l’homme à partager avec les autres ce qu’il y a de meilleur en lui »
Certes ; mais que ce geste ne soit à sens unique..."
La canne n’est plus d’aucune utilité pour les donateurs.
Et de deux, voici quelques denrées alimentaires tant convoités, et qui ont récemment fait mouche : l’œuf, les fruits de mer (crevettes, crabes, langouste,) etc.. et surtout le riz, importés de...
Ne méritent même plus d’être appelés par leur dénominatif respectif d’origine ; compte-tenu du contenu partiellement, voire totalement modifié à tout « hasard »...
et risquent probablement d’être cancérigène pour les consommateurs tsy nisasatra.