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19 mars 2017 à 17:45 | diego (#531)

Bonjour,

Pour se développer et pour pouvoir lutter efficacement et d’une manière permanente contre la précarité et la pauvraité, Madagascar doit s’endetter massivement, point !

Qui dit endettement, dit et exige mécaniquement une stabilité politique, de facto, des processus et calendriers électoraux fiables et stables dans le temps. Ce sont les conditions les plus importantes à remplir pour pouvoir s’endetter.

Maintenant, il faut connaître les poids économiques de chaque provinces et les régions dans notre pays, et leurs caractéristiques. Il faut tenir compte de la diversité du pays pour mieux le développer rapidement.

Quelles sont les régions, naturellement touristiques, à Madagascar ? Une question à se poser avant d’attirer les touristes. Infrastructure, Bord de mer, transport, le temps, saison, et évidemment, la sécurité et la santé sont les sujets à réfléchir et traiter dans ce cas là. Trois provinces y répondent parfaitement bien, par exemple, le Sud, le Nord et l’Ouest. Maintenant, l’agriculture, l’administration, établissement industriel, rôles vitaux pour le pays. Il y a trois provinces qui y répondent parfaitement bien, Tana-Fianar-Toamasina.

Ce ne sont que des exemples, comment pourrait-on s’y prendre pour sortir le pays de la pauvreté. Ainsi, les Malgaches vont se déplacer dans les provinces et régions dans lesquelles ils pensent pouvoir exercer efficacement leurs spécialités.

Si le pays avait des dirigeants compétents et honnêtes, il prendrait rapidement le chemin de developpement. Il faut surtout rappeler aux dirigeants et faire prendre conscience aux Malgaches que le developpement de leur pays ne dépende absolument pas des étrangers, des entreprises étrangères, encore moins des aides internationaux, mais de la force de ses 20 millions d’âmes.

Toutes tentatives qui visent à exclure, à marginaliser, comme le régime de Mr R. Hery fait merveilleument bien depuis trois ans, ces 20 millions d’âmes seront couronnées d’un échec politique cuisant, aboutissant mécaniquement à une aggravation de la pauvreté dans l’Ile.

Alors, il y a donc deux alternatifs, les forces vives du pays réagissent, ou acceptent ridiculement de subir et disparaître du paysage politique et économique, laissant le pays entre les mains des politiciens sulfureux, transformant l’État du pays en un État mafia.

Ce qui n’est absolument pas encore le cas aujourd’hui ! Mais si rien n’est fait, cela ne saurait tardé.......on n’aura pas éternellement le temps de réfléchir, il faut réagir sous peine des sanctions lourdes et que tout monde regretterait plus tard....cela s’adresse aux politiciens....

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