ll est cocasse qu’en cette occasion bénite, le pouvoir, tatillon sur certains principes, remise le poids lourd de l’ingérence au placard débordant de couleuvres avalées ….
Car pour aider, soutenir, porter à bout de bras, l’ingérence est nécessaire afin de vérifier à minima la véracité des projets à concrétiser….
Mais, il est vrai que la couleur et l’odeur de l’argent atténuent voir anesthésient toutes formes de susceptibilité, mal placées et obsessionnelles…
Aujourd’hui, on applaudit à la bienveillance et à la compassion internationales mais qu’en sera-t-il demain lorsqu’il faudra rendre des comptes de cette avalanche inespérée afin que le pouvoir puisse conclure son quinquennat, sous l’opulence promise d’andafy ?….
Terminées les allusions ineptes d’état mal-aimé, l’euphorie présidentielle doit être à son comble et l’avion de retour de Paris sera rempli de cadeaux, achetés avec gourmandise pour fêter comme il se doit, cette largesse d’un père Noël, venu enfin remplir la hotte d’un président qui doit jubiler de revenir au pays, avec un bilan positif, une fois n’est pas coutume ! ….