Le premier conseil de gouvernement a rassemblé pendant près de 5 heures ce vendredi 25 novembre tous les ministres à l’exception de Tabera Randriamanantsoa, nommé à la Fonction publique, au Travail et aux lois sociales. Celui-ci est issu de la mouvance Zafy mais comme ses collègues de l’opposition, il a entamé la passation de service. Ce fut lors de cette passation de service qu’il a expliqué qu’il se plie à cette cérémonie de prise de service pour confier l’exécution des affaires courantes au Secrétaire général qui assurera alors le fonctionnement des affaires du ministère. C’est un peu dans ce sens aussi qu’a abondé le ministre de l’Environnement issu des rangs de la mouvance Zafy, le docteur Joseph Randriamiandrisoa. Ce dernier estime qu’il faut poursuivre le dialogue entre Malgaches et résoudre d’abord cette non adhésion de toutes les parties dans le gouvernement et dans le processus, pour arriver à un vrai gouvernement d’union nationale de consensus et inclusif car pour l’instant il y a encore des contestations. Aussi, lui non plus ne va pas prendre directement en main le ministère mais il confiera au personnel du ministère la gestion des affaires courantes.
Pendant ce temps, le Pr. Zafy continue de ne pas reconnaître la présence et la participation des personnalités qu’il a désignées pour composer le gouvernement Omer Beriziky. Régis Manoro ministre de l’Education nationale issu de la liste de la mouvance Zafy ne comprend pas trop ce comportement même s’il avoue qu’il demeure dans l’esprit et la ligne de la mouvance.
Tous les ministres de la mouvance Ravalomanana conduits par le vice Premier ministre en charge de l’Economie et de l’Industrie, Pierrot Botozaza, ont répondu présents au conseil à Mahazoarivo. Mais ils ont posé des préalables. Ils ont déclaré que la mouvance de l’ancien président déchu se dit prête à soutenir le PM de consensus et à travailler avec lui pour la reconstruction du pays. Cependant, la mouvance Ravalomanana formule des réserves et se garde ainsi le droit de se retirer à tout moment du processus.
Les ministres de l’opposition ont sous-entendu que s’ils se retrouvent face à un obstacle donné, les ministres se réservent le droit de prendre conseil auprès de leur chef de file quant à l’attitude à adopter.
Les entités de l’opposition ont envoyé une requête officielle concernant le processus à la Troïka, à l’Union Africaine, et à l’Union Européenne, requête dans laquelle ils confirment qu’ils intègrent le gouvernement d’union nationale sous certaines conditions. Ils ont également exprimé le souhait de pouvoir s’entretenir directement avec le président de la transition au moment opportun pour l’application de la feuille de route.
Recueilli par Bill
Vos commentaires
Io President RAJOELINA no tonga @ ilay fiteny hoe nomenao azy ho nonony ny fanondronao ka ny sandrinao mihintsy izao no tiany harapaka.Jereo fa tena marina mihintsy hoe raha sanatria tsy voatery nanao sesin-tany ny tenany toa ny nitranga io r8 fa tafajanona teo @ toerany, dia minoa ahy ianao fa dia efa tany am-ponja ianao io PRESIDENT RAJOELINA .Ary tsy ho nisy fanovana mihintsy teo ka hoe nisy olona avy taminao nampidiriny teo @ fitondrana.Efa an-tsesi-tany izy izao ka tokony tsy hiteny intsony, fa anjaranao izao no mitondra ka ianao no masi-mandidy @ izay olona tianao apetraka eo,RAISO ny ANDRAIKITRAO Andriamatoa FILOHA fa ny nanohananay anao tsy HAMERINA NY EKIPAN-dr8 EO @ TOERANY AKORY.
Betsaka ny fandeferana nataon’ny Filoha Ravaolamanana sy ny mpiara-dia aminy. Anisan’ny goavana indrindra amin’izany ny famelana an’i Rajoelina nanongam-panjakana ho « filohan’ny tetezamita ». Raha ny rariny sy ny hitsiny dia any am-ponja, na fanameloha ho faty aza, no sahaza an’i Rajoelina sy mpiray tsikombakomba aminy satria namadika Tanindrazana, nanomgana ny fanjakana lanim-bahoaka nisy teto.
Zaran-dRajoelina aza nisy an’io tondro zotra io nahafahany nivoaka ni kizo nisy azy. Telo taona izay no lasa mbola tsy marintoerana foana ny « fanjakana » nalaina an-keriny. Na ny eto an-toearana na ny any ivelany (hafa tsy i lafrantsa angaha) dia mbola tsy manaiky ny fangalarana fahefana nataony.
Fahendrena (raha manana i Rajoelina) ho azy
1 - ny mampiatra tsy misy hatak’andro ary manontolo ny tondro zotra, indrindra ny fampodiana ny Filoha RAVALOMANANA
2 - ny famoahana ireo gadra politika rehetra
3 - ny famoahana ny haino aman-jery nakatona, famelana ny olona haneo ny heviny eny rehetra eny
4 - ny fanekana ny hihaona amin’ny FILOHA VOAFINDIM-BAHOAKA telo lahy hamaritana mazava ny lalan-komban’ny firenena.
Raha tsy mahay manararaotra an’io tondro zotra io i Rajoelina fa mbola te hanjaka tokana ihany dia hianjera ho azy eo. Ny hany resin’ny tafika hianteherany io dia vahoaka tsy manana afa tsy tanam-polo. Raha sendra hery mitovy aminy ireo dia tsy aharitra afa minitra vitsy. Sady ireo koa vola ihany no tompoin’ireo fa tsy Tanindrazana, na Firenana izany.
Tabera Randriamanatsoa,
Dites -nous clairement quel OBJECTIF/SCHEMA ou ALTERNATIVES vous propose aux malgaches Vous , Zafy et Ravalo sur l’après Rajoelina ?
On dirait que votre combat n’est qu’un SAUT des..... sauts dans le VIDE ...et decidement l’intelligence politique n’est pas du tout proportionnelle à l’epaisseur des lêvres ....
je pense que les Zafisoro que vous prettendez representer ne sont pas d"accord avec Vous.....
Ce gouvernement de Transition n’a absolument pas pour mission de redresser la situation socio-économique à Madagascar.
La FdR est très clair sur ce point dans son article 8.
Outre la mise en place d’élections libres, transparentes et acceptées par tous (sous-entendu la majorité), gérer les affaires courantes, c’est remettre les fonctionnaires au travail, assurer leur rémunération à la fin du mois, assumer les responsabilités régaliennes qui incombent à l’Etat (Justice, sécurité intérieure, santé publique, etc...)
... et la CI n’apportera son soutien financier que dans les limites ainsi définies.
Avec tous les respects que j’ai pour les acteurs politiques malgaches,en particuliers pour Tabera RANDRIAMANANTSOA,il ne faut pas oublier que le Premier Ministre vous a proposé comme ministrable au Président de Transition,Chef d’Etat,ce dernier vous a nommé « MINISTRE »,à plein temps.
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com
Basile,
Et que dire, d’un AUTO-PROCLAMÉ Président (de Transition), à la solde de l’étranger !!?
Et qu’en est de la SOUVERAINETÉ DE L*ETAT MALGACHE AUX BOTTES DES NON-MALGACHES (SADC, OIF, Francafrique... et j’en passe) !!?
Votre Président ne mérite même pas de l’être par « Procuration » !
Tout a fait d’acccord avec M Basile Ramahefarisoa.
On est ministre discipliné sous l’ordre du premier ministre au service de l’Etat et de la nation,ou on ne l’est pas.
C’est quoi ce bordel ?
C’est quoi ce chantage irréfléchi, irresponsable et inconséquent ?
A la place du 1° Ministre Omer Beriziky, je ne les nommerai pas et opterai pour un de leurs conseillers qui a le sens de la discipline, de la rigueur dans la manière de servir. Un homme ou une femme qui a de la personnalité et non des « marionnettes ».
Vraiment n’importe quoi et la honte !
La raison d’être principale de ce Gouvernement de Transition est donc bien de préparer et mettre en place des élections libres, transparentes et acceptées par « le plus grand nombre »...
Depuis bientôt un an, la SADC s’est attelé à cette tâche et la signature « officielle » de cette FdR a été accéléré face à la pression qu’avait imposé la HAT d’organiser leur propre élection.
La SADC n’a donc aucun intérêt à ce que cette FdR ne soit pas accomplit jusqu’à son terme, et pour cela elle (la SADC) est prête à faire des concessions (fermer les yeux) sur certaines déviations que pourrait lui imposer ce Gouvernement d’Omer Beriziky (les conditions de sa nomination en est une des premières, la composition du Gouvernement une deuxième, ...)
L’opposition a ainsi tout intérêt a rester dans le processus de l’application de cette FdR, que ce soit à l’intérieur ou à l’extérieur du Gouvernement, et de participer activement et « positivement » (c-a-d constructivement) à la mise en place de ces élections qui clôtureront la fin de la Transition.
A toi Tabera !
Tes bêtises te perdront, continue !
Et si tu ne veux pas travailler, vas-y, démissionne ! Parce que nous, en tant que contribuables, nous ne te laisserons pas profiter du beurre, de l’argent du beurre et de la fille du laitier ; parce que tu crois qu’on va te laisser toucher ton salaire de ministre dès lors que c’est ton SG qui fait tout à ta place ? Tu rêves !
L’époque de l’URSS où étudiants vous vous faisiez de l’argent facile avec vos jeans est révolue mon gars et maintenant l’heure est au travail et celui qui ne bouge pas son c.. ne mérite pas de salaire. J’espère que tu vas écouter la voix de la raison parce que tu n’es pas bête, je l’admets ! Bonne réussite ! Un copain de la Patte d’Eléphant ! Merci de t’en rappeler.
Monsieur Tabera,n’oubliez pas ceci,l’origine de l’empêchement du Professeur c’est la désertion des conseils des Ministres,n’est-ce pas ????,
Un Ministre dispose d’un pouvoir hiérarchique à l’égard de ses services et leur indique ses instructions par des notes,directives ou circulaires.Il n’a pas de pouvoir réglementaire,sauf en tant que chef de service pour organiser son département,ou lorsqu’il doit contresigner des actes du Chef de l’Etat et du Premier Ministre dont il doit assurer l’exécution.
D’autre part,le Ministère désigne l’ensemble des services de l’Etat placés sous la responsabilité d’un Ministre et s’occupant d’un ou plusieurs domaines (Pour Moi Basile RAMAHEFARISOA,b.ramahefarisoa@gmail.com,il y a erreur de mélanger « FONCTION PUBLIQUE » avec-"TRAVAIL/LOIS SOCIALES,par expériences personnelles).
Ces services sont répartis entre une administration centrale,les plus souvent localisés dans la capitale,Antananarivo,et des services déconcentrés en régions.
Les décrets d’attribution pris après la formation du Gouvernement par le Premier Ministre déterminent les domaines d’intervention de chaque ministère.Le ministère dispose,pour son fonctionnement,de crédits qui lui sont attribués chaque année par la loi de finances.
Le nombre de ministères n’est pas déyerminé par la Constitution ou la loi.Il résulte du d« cret pr »soidentiel nommant les membres du Gouvernement.
Leur nombre peut varier en fonction de critères politiques(un ministère peut être à la fois-FONCTION PUBLIQUE,TRAVAIL et LOIS SOCIALES-ou TRAVAIL/LOIS SOCIALES ) ou selon les priorités du Gouvernement.
Seuls les Ministères dits « régaliens » ne subissent pas de modification :
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com
C’est un gouvernement de transition qui doit expédier les affaires courantes ! Il faut appliquer la feuille de route stricto sensu :
retour de tous les exilés y compris Ravalomanana Marc
libération de tous le prisonniers politiques
liberté de presse (l’opposition est muselée)
réveille-toi jeunes Malagasy,
Ne vous découragez pas,la discussion a commencé sur plusieurs points de la feuille de route,lors du premier conseil du Gouvernement.
Paraît-il ;la discussion continuerait « MARDI » prochain.
Faisons confiance,pour une fois,à la solidarité gouvernementale.
Souhaitons l’organisation à Antananarivo de la réunion au sommet des quatre Présidents-Albert ZAFY,Didier RATSIRAKA,Marc RAVALOMANANA et du jeune Président de Transition ,Chef d’Etat Malgache Andry Nirina RAJOELENA-avec les autres, pour tracer « ENSEMBLE » l’avenir de notre Pays,Madagascar.L’Union fait la force.
Madagascar aux Malgaches.
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com
Je crains, Basile, que votre « jeune Président de Transition ,Chef d’Etat Malgache Andry Nirina RAJOELENA » ne se soit éliminé de lui-même à cette réunion au sommet.
Ce, parce que, non seulement il a cassé l’alliance qu’il avait avec ceux qui voulaient seulement se venger de Ravalo, en n’écoutant que ceux qui l’entourent de près, c’est à dire ceux dépourvus de tout sens de Nation (car jamais élus) et qui ne pensent qu’à la ration, mais au point de ne suivre que les directives de la reine-mère.
En effet, c’était cette alliance du début qui était contre nature, car elle rassemblaient des malfrats et de vrais politiques qui, quand le danger est devant la porte, savent oublier toutes les inimitiés, pour ne plus penser qu’à l’intérêt supérieur de la Nation. Les vrais patriotes savent faire taire leur fierté pour s’allier avec l’ennemi d’hier quand le pays a besoin de tous ses enfants. Le Rwanda ne se serait pas relevé si la haine entre Tutsis et Hutus, s’ils n’avaient pas distingué leurs vrais ennemis.
Il est donc devenu, non seulement un putschiste mais un traître à la Nation. Ce que Zafy ne cesse de dénoncer.
La lutte pour la Nation ne peut qu’être victorieuse, mais la FdR est la solution acceptée par la CI, nous y adhérons tout en luttant sur toutes les lignes :
Les batailles pour la sortie de crise et l’indépendance de Madagascar se passent sur tous les fronts.
[www.lexpressmada.com]
Samedi 26 novembre 2011
Parlement de la Transition
Surenchère sur les sièges
Les réunions en vue de former le Parlement de la transition ont débuté hier. Le dialogue bute cependant sur la modalité à appliquer aux deux chambres.
Une réunion des acteurs et groupements politiques signa¬taires de la Feuille de route s’est tenue presque incognito à Iavoloha hier, durant l’après-midi. Elle avait pour objet le préambule pour l’élargissement ou la restructuration du Parlement de la Transition, en l’occurrence le Conseil supérieur et le Congrès de la Transition. Des sources avisées avancent que le débat fait rage actuellement, non seulement sur le sort de ces deux chambres, mais aussi et surtout sur le nombre de parlementaires élus qui sera retenu.
À l’exception de la mouvance Zafy et de celle du Moni¬ma de Roindefo Monja, toutes les formations signataires ont répondu présent à Iavoloha. Mamy Rakotoa¬rivelo, chef de la délégation Ravalo¬manana, confirme qu’un énième marchandage s’est tenu au palais d’État, essentiellement sur la recomposition, la restructuration ou l’élargissement à appliquer sur les deux chambres parlementaires. D’après le secrétaire général du Tiako i Madagasikara, « la mouvance Ravalomanana milite pour une restructuration et une recomposition de la Feuille de route », comme mentionnée dans ledit document, précise le numéro deux de la mouvance Ravalo¬manana.
Un cas de figure que renie les groupements proches du régime, le Tanora malagasy vonona et l’ Union des démocrates et des républicains pour le changement (Udr-c) particulièrement. Evariste Marson, membre de ce dernier groupement proche du régime de la Transition, renie catégoriquement une « remise à plat des acquis ». D’après lui, « ce sera un élargissement », soit en contresens de la requête de l’opposition. Le plaidoyer de ce proche du pouvoir con¬siste à renier « un diktat » imposé par l’opposition incarnée principalement par les Trois mouvances. Evariste Marson insiste sur le fait que l’Udr-c a déjà adopté sa position sur le remaniement au sein des institutions de la Transition, allant jusqu’à prévenir que « cette fois, ce sera nous qui dirons non ».
Point de départ
Ce dernier mot en dit long sur le débat qui risque de se poursuivre la semaine prochaine. En effet, la rencontre d’hier à Iavoloha n’a été que le premier jour d’une série de dialogues entre signataires. Les prochaines rencontres promettent en tout cas de plus vives surenchères. En attendant, la mouvance Ravalomanana a informé que la Troïka de Marius Fransman, vice-ministre sud- africain des Affaires étrangères, et la SADC représentée actuellement par Mogketi Monaïsa, ambassadeur de l’Afrique du Sud à Madagas¬car, par ailleurs présent à Iavoloha hier, ont été saisies afin de trancher sur les modalité à appliquer aux deux chambres parlementaires. D’après le chef de la délégation du désormais seul ancien Président de la République en exil à l’étranger depuis le retour de Didier Ratsiraka jeudi, les participants se sont entendus afin de respecter l’échéance du 30 novembre, date butoir fixée par le calendrier de la Troïka pour la formation du nouveau Parlement de consensus de la Transition.
#
retour de tous les exilés y compris Ravalomanana Marc
libération de tous le prisonniers politiques
liberté de presse (l’opposition est muselée)"
"C’est un gouvernement de transition qui doit expédier les affaires courantes ! Il faut appliquer la feuille de route stricto sensu :
#
Je ne pense pas que :
fassent partie des « affaires courantes » dont aura la charge le Gouvernement de Transition !!!
Cela relèverait plutôt du domaine discrétionnaire du Président de la Transition, Andry Nirina Rajoelina, à défaut aux futurs CT et CST élargis.
A mon humble avis, il faudra certainement attendre l’élection du futur Président de la République et de l’Assemblée nationale qui suivra (ou réciproquement) pour que le sujet soit abordé et traité ;-)
manantena fa niova,
rassurez-vous,s’il y a une réunion au sommet des quatre + les autres,la feuille de route ne serait pas « modifiée ».Pari engagé.
Par conséquent,Andry Nirina RAJOELINA reste Président de Transition ,faisant fonction de Chef d’Etat de Madagascar.L’objectif de cette réunion au sommet c’est de tracer ensemble « UN PROJET D’AVENIR POUR MADAGASCAR » avec toutes les expériences bonnes ou mauvaises de chacun.
Ce que je trouve « RIDICULE » en ce moment,c’est l’intention des Ministres d’opposition :
« OUI à BERIZIKY »,
« NON à Andry Nirina RAJOELINA ».
Avant de tomber dans le ridicule,mieux vaut rendre vos tabliers,Mesdames et Messieurs,dès maintenant,si vous persistez dans cette voie sans issue..La patience du Peuple a des limites.
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com
iarivo,
je suis loin de partager votre point de vue.
« TOUT SE FERA,PENDANT LA TRANSITION, POUR »ORGANISER« UNE ELECTION LIBRE,TRANSPARENTE et ACCEPTEE DE TOUS »
Cordialement,
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com
Rien de ridicule, sauf pour ceux qui, comme vous, donnent TOUT pouvoir à ce blanc bec, qui s’oppose de toutes ses forces au retour de Ravalomanana.
Il y a aussi ceux qui, autour de ANR, ont essayé de s’opposer au retour de Ratsiraka et qui tremblent actuellement car ils vont bientôt disparaître du monde politique.
Ecouter cet éminent magistrat, Imbiky Anaclet, invité du zoma de Tv+, hier. Il vous expliquera plus clairement la méprise de la majorité de cette HAT sur cette FdR.
http://www.vatofototra.com/
Ce n’est pas moi qui élimine votre jeunot, mais il s’élimine de lui-même dès que cette réunion au sommet pour une solution malgacho-malgache, à Tana, qu’il n’a jamais acceptée, aura lieu. Il ne l’a jamais accepté, comme ON a fait foirer celle du Hintsy, car il n’a rien à dire, il faut qu’il apprenne par coeur un sujet et dès que l’on enchaîne sur ce pour lequel il n’a pas été préparé, il claque la porte...C’est pourquoi, après Addis Abeba, il ne voulait plus de réunion où il doit débattre. Il ne va que là où il prononce un discours préparé à l’avance ; sauf pour animer une soirée...
manantena fa niova,
dîtes-vous que l’échec de « HINTSY »,c’est la faute d’Andry Nirina RAJOELINA...c’est encore à discuter.Malheureusement,l’acteur principal des négociations de « HINTSY » n’est plus de ce monde.
A titre personnel,ce n’est pas la faute (personnelle) d’Andry Nirina RAJOELINA
Cordialement,
Basile RAMAHEFARISOA
b.ramahefarisoa@gmail.com
C’est impératif pour Madagascar une vraie réconciliation nationale. A cette fin, que tous ces politiciens fassent leur mea-culpa et oeuvrent ensemble pour l’intérêt des Malagasy. Madagascar a le potentiel économique (ressources minières, terres arables, tourisme etc...) pour sortir de la pauvreté mais il nous faut des femmes et des hommes « compétents » de bonne volonté dénués d’esprit corrompu. Pour l’instant, le « diviser pour mieux régner » fonctionne malheureusement.
Tabera Randria prend ta chaise, c’est ta seule et unique occasion pour vous d’avoir le titre de ministre.
Puisque avec vos capacités et vos qualités agressives (depuis le terrain de football à l’époque de vos jeunesse jusqu’à carlton), votre chance est très mince.
« isika tsy mba naman’izay mihemotra »..
Il est évident que ce gouvernement n’est pas là pour redresser une situation économique à court terme. La plénipotence et la suprématie de Rajoel banana a vécu. Même Christine Razanamahasoa n’a plus une marge de manoeuvre aussi insolente qu’elle avait avant, tout ministre soit-elle. Place au réalisme et au pragmatisme. Nous n’avons plus les moyens de TerGiVerser. On a faim !!Et à genoux. Ratsiraka est desormais sur place, en embuscade et il vaut mieux un mauvais arrangement que pas d’arrangement du tout !
Alefaso amin’izay M. Beriziky ! A chaque fois, Rajoel banana n’aura son argent de poche qu’après votre accord et votre validation !
Ce gouvernement n’est qu’un gouvernement de transition. Les politiciens n’y ont pas leur place. Les Tabera, Christine, et autres n’arretent pas de démontrer qu’ils y sont pour faire de la politique politicienne.
Or, même si la transition n’a pas vocation à régler tous les problèmes, comme son nom l’indique en revanche, elle doit nous mener vers des horizons meilleurs, par exemple transition vers la démocratie.
Je pense que la Constitution votée en novembre 2010 n’est pas la bonne, car comme toutes les précédentes, elle a été rédigée à la pointure du chef d’Etat en place (suppression des 35 ans d’age d’éligibilité par exemple). Ce fut aussi les méthodes depuis Tsiranana jusquà Ravalomanana.
Pour une véritable constitution à la mesure des aspirations du peuple malgache, il ne faudrait pas lui en imposer une, à prendre ou à laisser comme d’habitude (OUI/NON) mais plutot lui donner vraiment un choix véritable :
Constitution A : régime unitaire fortement décentralisé avec mise à disposition des régions ou provinces des moyens techniques et financiers.
Constitution B : régime fédéral qui va responsabiliser vraiment chaque region ou province.
Ces dossiers là à confier à une organisation ad’hoc, un gouvernement de technocrates sera plus à même de les superviser.
Une réconciliation entre les politiques qu’il faut pas nationale.
Ce sont eux qui ont créé tous les maux et problèmes de Madagascar depuis plus de 50 ans.
La politique s’apprend, messieurs de tous bords, on devient pas politicien quand on veut, alors réfléchissez bien avant d’agir.
Personne ne peut vous donner du crédit si ça continue comme ça.
Il NE PEUT PAS avoir de réconciliation entre les hommes politiques.
Il NE DOIT PAS avoir de réconciliation avec ces hommes qui ont créé tous les maux et problèmes de Madagascar depuis plus de 50 ans.
Quand un homme ou une femme devient dangereux pour la société (un criminel multirécidiviste, par exemple), il est placé dans une maison carcérale pour le sanctionner et l’empêcher de nuire à nouveau.
Un homme politique, un « élu » de surcroit, qui a abusé de ses prérogatives que lui donnait son statut d’élu, doit être, lui aussi, sanctionné et empêché de nuire à nouveau.
Une réconciliation ne pourrait être qu’un reniement aux principes de base de toute Démocratie qui se respecte, une injure a toutes ces personnes victimes de leur politique criminelle.
Ils ne méritent plus à de quelconque crédit ni de reconnaissance de la part des citoyens malagasy lambda.
S’ils veulent sortir la tête haute de la scène politique malagasy, ce serait plutôt en s’abstenant VOLONTAIREMENT d’y revenir et de prendre DEFINITIVEMENT leur retraite POLITIQUE.
A défaut, ce sera au peuple de le leur imposer, de GRE ou de FORCE.
Donc, pas de sommet des 4 (3+1) !!!
Alors iarivo, si c’est le cas, s’ils ne peuvent jamais s’entendre, qu’ils déguerpissent tous, car je pense que la coupe est pleine pour les Malagasy.
Place aux vrais patriotes.