Le jeu de cache-cache entre les agents de la Commune urbaine d’Antananarivo et les commerçants ambulants qui occupent les trottoirs d’Analakely n’est pas prêt de prendre fin. C’est à l’image du chat et de la souris. Mais devant la détermination des responsables communaux, les marchands à la sauvette commencent à se révolter et ont marché sur la Mairie pour interpeller le magistrat de la ville. Ils réclament des emplacements à proximité du centre ville, en quelque sorte une politique de gestion des infrastructures économiques avant tout.
Ambiance d’assainissement de la capitale
Tension quotidienne dans le centre ville
mercredi 13 janvier 2016 |
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4 commentaires
Vos commentaires
13 janvier 2016 à 12:01 | betoko (#413)
Tiens où est le général Florens ? Comment lutter contre le chantage et le populisme . Avant de vendre sur toutes les rues d’Analakely qu’est ce qu’ils ont fait ces gens là avant , peut être ils sont nés il y a quelques mois ?
Parmi ces gens là , leurs parents ont déjà des stands au Pochard par exemple , et ils envoient leurs enfants vendre dans les rues . Il y a aussi des gens de la campagne les quels croyaient qu’il est plus facile de vivre à Tana que dans leur village ,hélas ils ont perdu tout y compris leurs illusions
13 janvier 2016 à 17:57 | RAMAHEFARISOA Basile (#9107)
« Trouver des emplacements mais chaque marchand ambulant doit avoir une autorisation d’exercer ».Point barre !
SINON,TOUS LES PRODUITS==à vendre== SERONT MIS EN FOURRIERES, ou DETRUITS SUR LE CHAMP.
Basile RAMAHEFARISOA-1943
b.ramahefarisoa@gmail.com
13 janvier 2016 à 18:05 | leclercq (#4410) répond à RAMAHEFARISOA Basile
A commencer par vous !!produit périmé qui+est
13 janvier 2016 à 18:11 | leclercq (#4410)
Il n’y qu’à leur proposer d’autres moyens de gagner leur vie !! ils font ça pour vivre , ou plutôt survivre , sinon ils partiraient bien en voyage comme missé le présida !