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Santé

Anxiété et dépression chez les patients

Soutien du personnel médical

vendredi 28 octobre 2016 | Randria Maeva

Quand une personne est atteinte d’une maladie, les douleurs physiques peuvent être insupportables mais les douleurs psychologiques peuvent aussi se développer petit à petit.

L’Atelier sur la douleur psychologique, organisé par Douleur Sans Frontière, du 25 octobre jusqu’à ce jour du 28 octobre 2016, se concentre sur la douleur psychologique. Le thème de l’atelier s’est porté sur l’anxiété et la dépression chez les patients douloureux, il a été animé par le Docteur Serra, spécialisé en psychiatrie et provenant de France.

L’atelier a été ouvert à l’Amphithéâtre de l’Hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona, les séances ont continué à la salle ANYMA à Andrefan’Ambohijanarahary et au Centre Hospitalier Universitaire Mère Enfant Tsaralalàna (CHUMET). Le personnel médical de l’HJRA et du CHUMET Tsaralalàna sont les principaux participants. L’atelier a mis en exergue l’évaluation des douleurs chez un patient, les symptômes des douleurs psychologiques et les prises en charge des patients, que ce soit médicamenteux ou non. Les prises en charge touchent les thérapies permettant de soutenir une personne dépressive. Les échanges sur les différentes situations cliniques rencontrées par les participants ont marqué l’atelier.

Quand une personne souffre d’une maladie, par exemple d’un cancer, elle peut devenir anxieuse et dépressive. Le personnel médical est alors en charge, selon leur spécialité, d’aider ces patients à surmonter la douleur et les différents problèmes psychologiques. « Le soutien psychologique doit être permanent durant le traitement, surtout pour les enfants. Il y a des cas où ils sont hospitalisés jusqu’à 6 mois et même plus. L’enfant vit dans un tout autre environnement, loin de sa famille, il devient anxieux en ayant peur de tout le monde. Mais la famille et les parents jouent également un rôle important dans le soutien des patients, il y a les thérapies familiales où on regroupe l’ensemble de la famille, pour pouvoir les aider », nous explique une assistante sociale du CHUMET Tsaralalàna.

1 commentaire

Vos commentaires

  • 28 octobre 2016 à 12:13 | Jipo (#4988)

    A quand un atelier sur les séquelles de la famine, l’ impact sur les générations à venir ou l’ avenir de la Nation tout simplement, c ’est bien beau de faire des ateliers, des conférences, des expositions, des séminaires, , du kabary en quelques sortes, pendant ce temps, rien n’ avance, à part la misère , tant physique que mentale .
    Quant aux irresponsables qui veulent avancer en 4#4 , il y a vraiment des coups de lattes qui se perdent !
    Je préconise un délestage volontaire de toutes ces administrations, chambres, couloirs, occupées par des moins que rien, qui ne méritent ni égard , moins encore respect !
    Tant que ce pays sera vampirisé par des arrivistes irresponsables, sans scrupules, je ne parle pas d’ éthique, ni de morale, mais bien d’ irresponsables, il sera vain d’ y investir le moindre ariary, autant vouloir assécher le cirque rouge ou les pairies d’ Ihosy pour y faire de l’ aquaculture , en pissant dessus...

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