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jeudi 28 mars 2024
Antananarivo | 21h56
 

Société

Prenez en main votre réussite

Reveillez le potentiel qui someille en vous

« L’occasion en or que vous cherchez est en vous-même. Elle n’est pas dans votre environnement ; elle n’est pas dans le hasard ou dans la chance, ou dans l’aide des autres ; elle est seulement en vous ». (Orison Swett Marden) .

« Rien n’est bon ni mauvais mais y penser le rend ainsi ». (Shakespeare).

« L’homme est à l’image des ses pensées les plus secrètes ». (Le roi Salomon).

- Développez vos capacités
psychiques

Ces affirmations démontrent à quel point ce que l’on croit influe sur les résultats que l’on veut obtenir. Bon nombre de gens se plaignent de leur malchance de ne rien réussir dans la vie. Si dès le départ, vous pensez ne pas posséder les compétences requises pour la réalisation d’une tâche, n’est-il pas évident que vous échouez ?

Combien de fois avez-vous prononcé ces phrases : j’ai peur de perdre, je n’y arriverai jamais, je n’ai jamais de chance, je ne suis pas fait pour cela, je suis incapable d’y arriver, etc…

Ces types de croyance qui vous éloignent de votre réussite sont désormais à bannir de votre vocabulaire.

Dans votre démarche pour le changement, vous devez vous convaincre de votre capacité à réussir. Vous verrez par la suite, que cette image mentale positive vous servira d’aide à une amélioration de la confiance en soi.
Exploitez ce pouvoir formidable dont vous disposez pour mener votre combat vers la réussite. En effet, prendre contrôle de ses pensées n’est pas chose facile. Il faut s’exercer de manière régulière pour s’imprégner de l’habitude de formuler des affirmations positives. N’oubliez pas que vous êtes votre propre chef, et que c’est vous qui gouvernez votre esprit et non l’inverse.

Quels que soient les obstacles sur votre parcours, vous ne devez en aucun abandonner. Forgez votre esprit à être orienté vers vos priorités. Le simple fait d’y penser peut vous motiver à s’y accrocher. Votre pensée constitue votre force, n’hésitez pas à s’en servir.

Néanmoins, si vous ne vous sentez pas prêts pour le grand saut alors ne forcez rien. La réussite est une question de volonté !

« Ne faites pas de petits plans, ils sont incapables de vous pousser à l’action. Faites de grands plans, visez haut, dans votre travail et dans vos espoirs ». (Daniel Burnham)

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- HERY RASOAMAROMAKA : UN EXEMPLE D’UN CITOYEN POLYVALENT

Il fait partie de la 1ère Promotion des techniciens supérieurs de l’Institut Supérieur de Technologie (IST) d’Antananarivo. Après sa formation à l’IST, il a fait son stage de deux ans chez Colas. Après Colas, il a travaillé pour SMAPT en tant que conducteur des travaux. Il, c’est Hery Rasoamaromaka qui a créé en 1997 sa propre entreprise
(« Entreprise Hery ») en BTP (Bâtiment et Travaux Publics). Il a réussi dans sa profession d’entrepreneur car son entreprise a réalisé des gros ouvrages pour ne citer que la construction du bâtiment de Vanille Mad à Sambava, la construction du bâtiment de Point Pacom à Andranomena et la réhabilitation de l’immeuble Fumarolli à Antaninarenina.

Par ailleurs, Hery Rasoamaromaka, connu sous le pseudonyme Hery Be, est un passionné du sport automobile : le Rallye. Hery Rasoamaromaka s’est lancé dans cette « passion » depuis 1999. Il a déjà remporté la deuxième et la troisième place des grands Rallyes de Madagascar. En 2007, Il a rêvé de gagner la première place, hélas. Cette année 2008 est une année sabbatique pour Hery Be tandis que l’année 2009 sera une année de défi pour ce « secrétaire général de la Fédération Sport Automobile » car il engagera une voiture bien préparée.

« Reculer pour mieux sauter » est l’expression utilisée par Hery Be pour expliquer la situation. Hery Be continue cependant à apporter son assistance technique aux compétiteurs de ce sport automobile. Hery Rasoamaromaka a suivi des formations dans deux écoles de pilotage à l’étranger. Ce président d’honneur du Club TMF Rallye (Team Mika- Faniry) a déjà participé à un Rallye automobile (« Tour Auto de La Réunion ») organisé à La Réunion. Mais, ce jeune de 38 ans n’est pas seulement un entrepreneur ou un passionné de Rallye. C’est aussi un commerçant des pièces détachées et un quincaillier. Hery Rasoamaromaka projette d’investir « en ouvrant des snacks qui répondront aux normes exigés par le professionnalisme, mais ils offriront de repas à la portée de toutes les bourses. Un autre projet se profile à l’horizon pour ce jeune entrepreneur : la promotion immobilière.

Bref, ce président du comité pour la construction de l’Akany FJKM Ambohipotsy Rasalama Maritiora, financé en partie par le Président Marc Ravalomanana, est un citoyen complet.

C’est pourquoi, il prend comme devoir de revendiquer une formule plus juste pour que tout le monde puisse jouir de la fameuse subvention sur le pétrole annoncée par le président de la République.

ZLeçons à tirer

Si Hery Rasoamaromaka a brillé dans tout ce qu’il a entrepris, c’est parce qu’il n’a cessé d’apprendre et de développer ses connaissances. Il conseille aux jeunes comme lui de ne pas s’arrêter au Bac, mais de continuer jusqu’à un niveau un peu plus haut. Selon Hery Rasoamaromaka, la différence se constate toujours entre un tireur de pousse-pousse qui a décroché un diplôme de maîtrise et un autre qui n’a eu que son CEPE. Par ailleurs, Hery Rasoamaromaka a su fixer ses objectifs. On doit fixer les objectifs à chaque début d’année et on fait le bilan de ce qu’on a fait ou de ce qu’on n’a pas fait à la fin de chaque année, suggère notre invité d’aujourd’hui.

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- FARATIANA RAMAVOARIVELO : LA REUSSITE EST UNE QUESTION D’ORGANISATION ET D’EFFORT

Propriétaire d’une boutique de cosmétique, Ramavoarivelo Faratiana a commencé avec une valise de produits cosmétiques pour arriver à un conteneur actuellement. Elle s’apprête à s’approvisionner en Afrique du Sud au mois de juilet prochain. Cette jeune femme a pu atteindre cet objectif grâce , entre autres, aux prêts d’une institution de microfinance sise dans la Capitale.

« J’ai débuté il y a 13 ans, se souvient-elle ». A cette époque, elle faisait le va et vient entre l’île Maurice et Madagascar, ses produits se tenaient dans une valise « du bagage accompagnée » , selon elle. Les habillements constituaient la majorité de ses articles à cette époque. La concurrence ardue des textiles chinois l’a contrainte à diversifier ses produits, aussi les cosmétiques ont pris une place importante dans ses rayons. « J’ai agi en fonction des demandes des clients et de la réalité », précise-t-elle. La saturation du marché de textile et la chute du pouvoir d’achat amènent la clientèle à se tourner vers les habillements bon marché chinois d’où la décision de cette jeune femme d’investir plus dans les produits cosmétiques. D’ailleurs, ses 13 années d’éxpériences lui ont permis de détecter les besoins de la clientèle et de réagir en conséquence. A part sa boutique à Behoririka, elle participe également à bon nombre de manifestations commerciales dans les provinces comme les foires et autres braderies. Malgré la concurrence qui devient de plus en plus rude, elle dispose d’une clientèle fidèle. D’où le succès de son entreprise.

Elle vend des produits cosmétiques en provenance d’Asie, de France et d’Afrique du Sud. « Je les mets côte à côte mais en précisant aux clients la qualité de chaque produit ». Les articles asiatiques notamment chinois sont en grande majorité des imitations tandis que ceux
« made in South Africa et France » sont des produits originaux de bonne qualité, donc les effets sont différents.

« Je ne mens jamais aux clients, note la jeune femme. J’explique pourquoi les coûts de deux articles en apparence équivalents sont très différents, d’autant que la peau est un organe très sensible ».

Leçons à tirer

Avoir une bonne organisation, ne pas ménager ses efforts, ne pas craindre l’échec, telles sont les principales qualités pour réussir selon cette jeune entrepreneur. L’échec fait partie de l’entrepreneuriat, l’essentiel est de savoir se relever ». D’ailleurs, seules les affaires entraînent les affaires », note-t-elle. Elle a essuyé une perte sèche lors de son premier approvisionnement en Afrique du Sud mais cela ne l’a pas empêchée de continuer. Mais tout demeure dans une bonne organisation, « je ne peux pas collaborer avec les gens qui n’ont pas le sens de l’organisationa », précise -t-elle.

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