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Portrait

Gil Razafintsalama

« On ne peut rien faire tout seul, c’est l’équipe qui prime »

samedi 18 octobre 2008 | Léa Ratsiazo
Gil Razafintsalama, l’homme de tous les défis.

Passionné de l’informatique et des nouvelles technologies en général, Gil Razafintsalama préside la destinée du Goticom (groupement des opérateurs en technologie de l’information et de la communication) depuis 2002. Egalement à la tête du magazine économique Dmd (Dans les Media Demain), il adore jouer au tennis quand le temps le permet mais le plus important « c’est la famille », ajoute-t-il. Il est d’avis que dans la vie en général, personnelle comme professionnelle, on ne jamais rien faire tout seul . « Si tu veux avancer, il faut une équipe qui se comprenne, qui se complète et surtout qui se fait confiance ».

Rapprocher les opérateurs en Tic de l’océan indien

Le groupement Goticom est un co-organisateur de l’événement Ebit. « Mon parcours est tout simple, » explique ce jeune homme, « je suis un passionné de tout ce qui est nouvelles technologies et d’ouvrages de sciences-fictions. Cette passion m’a amené naturellement, avec d’autres copains aussi férus du Tic, à créer Ebit en 1997 ». Goticom n’est venu que plus tard en 2000 sur initiative du Fasp (Fonds d’appui au secteur privé). Les études menées par le Fasp ont démontré qu’il faut fédérer les entreprises dans une association d’où la création du Goticom. Fin 2002 après la crise, les membres de Goticom ont choisi Gil Razafintsalama comme président et l’ont régulièrement reconduit jusqu’ici. De 17 membres au début, le nombre d’adhérents de ce groupement atteint les 78 actuellement dont Telma mais aussi Microsoft et les zones franches informatiques qui emploient jusqu’à 600-700 personnes.

Le Président du Goticom insiste sur la nécessité de rapprochement entre les opérateurs et groupements en Tic dans la région à commencer par l’océan indien. Des contacts avec l’île Maurice sont déjà entamés, pareil pour La Réunion.

N’empêche, en général ce jeune entrepreneur constate qu’il y a encore du chemin à faire pour coïncider la pratique et la théorie. Il note que les grands discours où sont annoncés les stratégies, les objectifs sont rarement suivis d’application.

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