« L’enveloppe globale de notre portefeuille de projets, estimée sur une période de quatre années, se situe à hauteur d’environ 70 millions d’euros. La contribution de l’Union Européenne représente 65 % de ce montant, son apport aux six programmes de la COI actuellement en cours d’exécution s’élevant à 44 millions d’euros ». C’est ce qu’a dit la secrétaire générale de la COI (Commission de l’Océan Indien), lors de la cérémonie d’ouverture des portes ouvertes sur cette organisation régionale qui a eu lieu hier à Anosy.
La COI, plus particulièrement le secrétariat général, n’est pas un bailleurs de fonds. Il n’intervient pas sur ses fonds propres. « Nous ne pouvons agir que dans le cadre de projets financés par des bailleurs et visant des objectifs de portée générale, projets qui sont négociés avec les gouvernements de nos Etats membres et pour lesquels la coopération régionale présente une réelle valeur ajoutée », a expliqué Monique Andréas Esoavelomandroso.
Pour mieux connaître la COI, le public pourra encore visiter aujourd’hui cette exposition. Il y découvrira tous les projets réalisés par cette organisation régionale depuis.
